(1901-1999) Philosophe français. Normalien. Il est agrégé de philosophie et docteur ès Lettres. Après un poste en lycée, il est nommé à l’Université de Montpellier. Prisonnier de guerre en Oflag, il monte un « Cercle Pétain ». À son retour, il est épuré mais la condamnation est annulée par le Conseil d’État. Il est réintégré dans l’Université, et nommé à Dijon. En 1955, il est nommé à la chaire de philosophie de la Sorbonne. Lié au futur pape Paul VI, il est invité par Jean XXIII à participer comme laïc au concile Vatican II. En 1961, il est élu à l’Académie française.
3 résultats (3 articles - 0 Tribune - 0 e-Recension)
Les événements récents concernant les otages ont horrifié et l’horreur empêche de penser ; la pensée est un phénomène froid et qui implique un détachement. Je voudrais proposer quelques « pensées » sur ces tragédies en les rattachant à une explication plus haute : en rapprochant ce phénomène-otage du phénomène-atome, guerre atomique. Car ce sont deux cas particuliers (et jusqu’ici indépendants pour le bien de l’humanité) d’une technique aussi vieille que l’homme : la dissuasion. Lire la suite
Réflexion sur la prise d'otages de l’ambassade de France à La Haye par l'Armée rouge japonaise du 13 au 17 septembre 1974 et sur la dissuasion nucléaire. Lire les premières lignes
Les événements récents concernant les otages ont horrifié et l’horreur empêche de penser ; la pensée est un phénomène froid et qui implique un détachement. Je voudrais proposer quelques « pensées » sur ces tragédies en les rattachant à une explication plus haute : en rapprochant ce phénomène-otage du phénomène-atome, guerre atomique. Car ce sont deux cas particuliers (et jusqu’ici indépendants pour le bien de l’humanité) d’une technique aussi vieille que l’homme : la dissuasion. Lire la suite
3 résultats
Avril 2024
n° 869
Les armées françaises et les crises du Moyen-Orient, 1973-2003
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...
