L’Égypte du président Sissi retrouve peu à peu une place centrale dans l’échiquier régional avec une volonté de dialogue – souvent discret – envers la plupart des États voisins. La lutte contre le terrorisme islamiste y est relativement efficace, sachant que le redressement économique est l’autre grand défi du régime. Lire les premières lignes

Depuis mars 2011, la Syrie connaît de graves troubles. La répression qui fait toujours plus de victimes et de réfugiés est dénoncée unanimement mais le régime de Bachar el-Assad tient toujours bon. Comment les responsables de l’État hébreu perçoivent et analysent-ils cette guerre civile à leur frontière ? Quels regards portent-ils sur ces événements et comment en voient-ils l’issue ? Telles sont quelques-unes des questions que traite l’auteur.

L’Égypte fut le second pays touché par le vaste mouvement du Printemps arabe. Mais plus d’un an après la « révolution », les islamistes sont en compétition pour le pouvoir toujours aux mains de l’armée. C’est ce contexte que décrit l’auteur en s’attachant à évaluer comment la « future » Égypte va peser sur la politique et la vision stratégique d’Israël dans la région ?