Auteur : E. M.

Général.

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N° 099 Janvier 1953 - Bibliographie - p. 118-119

Sécurité française - E. M.

En prenant l’ouvrage de M. Becquet pour un atlas historique, ainsi que l’y invite son sous-titre, le candidat lecteur commettrait une erreur grossière. Les nombreuses cartes qu’il comporte ne sont que les auxiliaires d’une érudition aussi sobre d’expression que riche d’idées générales, d’aperçus lumineux, d’explications ingénieuses. Lire la suite

N° 098 Décembre 1952 - Bibliographie - p. 660-660

Le troisième Reich - E. M.

Alors que la dictature hitlérienne n’a inspiré jusqu’ici que des mémoires et des essais, l’auteur, prétendant à la sérénité qui caractérise l’historien, s’élève au-dessus des jugements hâtifs, prononcés en pleine mêlée par les acteurs et les victimes tous en proie, assure-t-il, « à l’esprit de fanatisme et aux réactions sentimentales élémentaires ». C’est en tant qu’« habitant du monde » qu’il entend agir. Lire la suite

N° 081 Mai 1951 - Bibliographie - p. 619-619

Mission de l’Urbanisme - E. M.

Nous avons déjà eu l’occasion d’attirer l’attention de nos lecteurs sur l’importance des recherches de Gaston Bardet sur l’urbanisme moderne. Il s’agit dans ce livre, comme dans les autres, d’une vaste entreprise qui déborde largement le cadre purement architectural et industriel, puisque Gaston Bardet envisage l’aménagement de l’espace du triple point de vue de ses fonctions économique, sociale et spirituelle. Lire la suite

N° 081 Mai 1951 - Bibliographie - p. 619-619

Guide bibliographique sommaire et méthodique d’histoire militaire à l’usage des officers - E. M.

Quel est l’homme d’étude – et tout particulièrement le néophyte – qui, à la poursuite d’une documentation, n’ait pas été décontenancé jusqu’au découragement par la complexité et l’obscurité des répertoires de nos bibliothèques. Il se trouve en face d’une double difficulté qui, dès l’abord, lui paraît insurmontable : découvrir les ouvrages susceptibles de lui offrir la documentation recherchée et apprécier leur valeur respective. Cette seconde inconnue revêt une importance particulière au cours des prospections historiques ? Lire la suite

N° 078 Février 1951 - Bibliographie - p. 249-249

Invasion 1944 - E. M.

Le général Speidel a exercé, d’avril à septembre 1944, les fonctions de chef d’État-Major du maréchal Rommel, commandant le groupe d’armées dont la zone d’action s’étendait du Zuidersee à la Loire. Honoré de la totale confiance de son chef, il fut le témoin du débarquement allié, des conflits politiques et militaires qui opposaient Rommel à Hitler et de la conjuration du Haut-Commandement, dont l’attentat du 20 juillet consacra l’échec. Témoignage de première main qui porte la marque irrécusable de l’objectivité : le total effacement de son auteur. Lire la suite

N° 076 Décembre 1950 - Bibliographie - p. 632-632

Un du « Normandie-Niémen » - E. M.

Au printemps 1944, dans un camp de représailles en Pologne, où des généraux français partageaient le sort de généraux et officiers aviateurs soviétiques, ces derniers révélèrent à nos compatriotes l’existence dans leur armée aérienne d’un régiment d’aviation français. Les prouesses de nos compatriotes, l’efficacité de leur action et surtout leur esprit chevaleresque ne cessaient d’être exaltés par nos alliés, dont l’enthousiasme avait d’autant plus de prix que leur réserve était dans leurs conversations plus systématique. Lire la suite

N° 072 Juillet 1950 - Bibliographie - p. 110-111

Anthologie des classiques militaires français - E. M.

Notre enseignement supérieur s’est inspiré avant et après la guerre de 1914-1918 de méthodes diamétralement opposées. Tandis qu’avant 1914 l’enseignement tendait à développer la personnalité des élèves, en ouvrant à leur esprit critique le champ d’interprétation des principes napoléoniens, l’après-guerre nous offrit le spectacle d’une soumission autoritaire non aux principes, dont la guerre venait de révéler la pérennité, mais aux procédés d’exécution, imposés par la nature des opérations et l’état de l’armement. La sclérose intellectuelle, qui en résulta, fut sanctionnée en 1940. Lire la suite

N° 072 Juillet 1950 - Bibliographie - p. 111-111

Rappelés au service - E. M.

C’est vers les sommets à l’atmosphère sereine et aux vues lointaines, que le général Weygand attire ses lecteurs. Il nous décrit, en un style aussi vigoureux, précis et sobre que sa pensée, les événements dont il fut le témoin et l’acteur, laissant dans l’ombre les faits qui ont échappé à son contrôle, condition d’une loyale objectivité. Lire la suite

N° 072 Juillet 1950 - Bibliographie - p. 121-121

Envers et contre tout. D’Alger à Paris (1942-1944) - E. M.

C’est bien « envers et contre tout » que la France combattante parvint à constituer le gouvernement libérateur de la France. Dans un premier volume, M. Soustelle nous a écrit la naissance du Comité de Londres, ses efforts aux heures les plus tragiques pour tenter d’assurer, avec le concours de la flotte et de l’Empire, une contribution française à la guerre. Le deuxième volume nous fait entrer dans la phase victorienne, marquée par le débarquement allié en Afrique du Nord et par l’arrêt des offensives allemandes en Russie. Lire la suite

N° 068 Mars 1950 - Bibliographie - p. 369-370

Albert 1er, Léopold III - E. M.

Conseiller militaire d’Albert Ier et de Léopold III, le général van Overstraeten ne fut pas seulement, de 1920 à 1940, le témoin averti des événements qui intéressèrent la Belgique, mais, par ses conseils et ses initiatives, il exerça, dans l’orientation de la politique militaire de son pays, une influence qui, sous le règne de Léopold III, se révéla prépondérante. Son Journal de paix et de guerre offre au lecteur des témoignages abondants, précis et objectifs, susceptibles d’asseoir et d’étayer son jugement personnel. C’est, au premier chef, un document d’histoire. Lire la suite

N° 058 Avril 1949 - Bibliographie - p. 543-544

1944 et les destinées de la stratégie - E. M.

Tous ceux qui ont connu le général Doumenc ont admiré l’envergure et la clarté de son esprit. Une rapide analyse lui permettait de dépouiller les questions les plus complexes de toutes leurs données accessoires pour en définir les lignes essentielles et en hiérarchiser la valeur. Ces dons exceptionnels de prospection intellectuelle sont mis en relief par ce livre posthume. Celui-ci a bien comme objet les opérations de 1944 en France, mais l’auteur les situe dans une perspective très vaste qui embrasse l’évolution de la stratégie dans le passé et qui en jalonne les étapes dans l’avenir. Lire la suite

N° 053 Novembre 1948 - Bibliographie - p. 571-573

Le drame de Dunkerque - E. M.

Les opérations, dont Dunkerque fut le théâtre en 1940, n’avaient pas été traitées, jusqu’ici dans le détail. La confusion tragique qui a marqué la retraite des armées franco-britanniques, l’improvisation hâtive qui présida à la défense de la Place et à l’évacuation de ses défenseurs, furent exploitées dès 1940 sur la foi de témoignages ni contrôlés, ni confrontés, à des fins soit de polémique anti-britannique, soit d’apologie inconsidérée du combattant français. Cette période de la petite histoire est heureusement dépassée. Lire la suite

N° 053 Novembre 1948 - Bibliographie - p. 574-575

La bataille de Dunkerque - E. M.

M. Jacques Mordal s’est proposé de décrire les engagements de la Marine française au cours des opérations des armées alliées du 10 mai au 4 juin 1940 : participation aux combats livrés tant en Zélande, qu’à Boulogne au Cap Gris-Nez et à Calais, enfin, et surtout, défense de Dunkerque et évacuation par mer d’une partie de nos forces terrestres. Lire la suite

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