Auteur : François Jourdier

 

Contre-Amiral (2S), membre des « Sentinelles de l’Agora ».

 

10 résultats (5 articles - 5 Tribunes - 0 e-Recension)

Tribune - 12-10-2017

Banaliser la dissuasion (T 937) - François Jourdier - 6 pages

Banaliser la dissuasion (T 937)

Une réflexion sur la dissuasion et son avenir propose de remettre à plat la part du budget consacré au nucléaire, considérant que celui-ci obère une partie de la capacité à moderniser la défense dans son ensemble.

Lire la suite

N° 782 Été 2015 - Le nucléaire militaire - Perspective stratégique - p. 210-214

Allons-nous détruire Sodome ? Réflexions sur la dissuasion - François Jourdier

La dissuasion nécessite un vrai débat portant sur sa finalité et les moyens nécessaires. Une approche a minima pourrait se révéler plus pertinente, tout en dégageant des économies à réinvestir dans les programmes conventionnels. Lire les premières lignes

Tribune - 07-05-2014

Billet – Le Tsar Vladimir (T 519) - François Jourdier - 3 pages

Non sans bon sens, lucidité et courage, l’auteur expose que les intérêts européens et américains ne se recouvrent pas dans la crise ukrainienne et que la Russie est la mieux placée pour la régler.

N° 760 Mai 2013 - Repères - Opinions - p. 83-88

Le Président, la dissuasion et les exécutants - François Jourdier

En pratiquant une lecture précise de l’ensemble des textes réglementaires et juridiques qui fondent la défense nationale et organisent le droit des conflits armés, l’auteur révèle un étonnant vide juridique concernant la responsabilité du président de la République d’engager les forces nucléaires et une batterie de bonnes raisons de l’exécutant de ne pas obéir à ses ordres. Cette démonstration par l’absurde suggère un toilettage des textes. Lire les premières lignes

Tribune - 17-01-2013

Otan delenda est (T 318) - François Jourdier - 2 pages

Dans cet échange sur l’Otan (tribunes n° 284 et 298), l’auteur engage un dialogue critique sur l’existence de l’Otan qui lui paraît bloquer toute forme de conscience et de responsabilité stratégique collective des Européens.

Tribune - 02-11-2012

Il faut dissoudre l’Otan (T 284) - François Jourdier - 6 pages

Dans cette réflexion engagée sur le maintien de l’Otan après la guerre froide pour des opérations où la France et l’Europe n’ont rien gagné, l’auteur examine le cas d’école de la dissolution de l’Otan comme point de départ d’une Europe militaire maîtrisée.

Tribune - 21-02-2012

Risque et sûreté : le cas des installations complexes (T 178) - François Jourdier - 5 pages

Dès lors que le risque zéro n’existe pas, ce qui importe c’est de construire les installations complexes à l’écart des pôles de l’activité humaine d’aujourd’hui mais aussi de demain. Si un accident imprévu et imparable se produisait, son impact aurait été minimisé par méthode. Dans cet esprit, renoncer au nucléaire serait ne pas croire que la sûreté est possible et choisir un autre mode de société, énergétiquement très sobre.

N° 743 Octobre 2011 - Repères - Opinions - Débats - p. 99-102

Sûr, robuste, militaire et indéréglable - François Jourdier

L’auteur fait un plaidoyer pour desserrer l’étau des contraintes qui limitent les capacités d’action militaire de la France. Pour assumer ses tâches extérieures et tenir son rang militaire, il faut des systèmes simples, rustiques, mobiles et des effectifs suffisants. Lire les premières lignes

N° 701 Octobre 2007 - Sécurité-sûreté - p. 40-52

Le président de la République, chef des armées - François Jourdier

Depuis des décennies, le président de la République utilise le titre de « chef des armées » que lui attribue l’article 15 de la Constitution pour entreprendre des interventions extérieures sans le contrôle du Parlement. Cette interprétation est abusive. La loi doit définir le partage des pouvoirs entre exécutif et législatif.

N° 681 Décembre 2005 - p. 123-132

La défense et la loi - François Jourdier

Le Code de la défense qui vient d’être publié, regroupe 71 textes parus entre 1791 et 2004. Cette synthèse effectuée « à droit constant » ne comble en rien le vide législatif que l’on ne peut que constater, en ce qui concerne les formes modernes d’actions de défense : opérations extérieures et mise en oeuvre des forces nucléaires. Aucun texte ne définit avec précision le partage du pouvoir d’engagement entre le président de la République, le gouvernement et le Parlement. Les exécutants doivent maintenant s’assurer de la légalité des actions auxquelles ils participent et des ordres qu’ils reçoivent. Il est nécessaire de reprendre les textes qui fondent la défense pour les adapter aux conditions actuelles.

10 résultats