Auteur : André-Georges Lemonnier

(1896-1963) Amiral français. Chef d'état-major de la Marine de juin 1943 à mai 1950. Il dirige les opérations maritimes en Corse (1943) et en Provence (1944). Directeur du collège de Défense de l'Otan de 1950 à 1952 et adjoint naval du SACEUR au SHAPE. Membre de l'Académie de Marine.

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N° 822 Été 2019 - La Méditerranée stratégique – Laboratoire de la mondialisation - Mémoire stratégique - p. 177-183

La Méditerranée, mer essentielle (février 1957) - André-Georges Lemonnier

Seul espace maritime connu de nos Anciens, la Méditerranée ne représente plus à notre époque que la centième partie de la surface d’eau sillonnée par les lignes de navigation. Lire la suite

N° 182 Juillet 1960 - p. 1213-1235

Les armes secrètes d'Hitler et celles des Alliés - André-Georges Lemonnier

On trouvait périodiquement avant guerre, dans les journaux, de brèves rubriques annonçant qu’un inventeur, généralement étranger, avait découvert le « Rayon de la Mort ». Les rédacteurs en chef, quoique sceptiques, n’osaient pas négliger l’information : si jamais la nouvelle était exacte, si elle contenait seulement une parcelle d’exactitude, quelle sensation ! Les lecteurs, bien entendu, blasés par la fréquence de telles annonces jamais suivies d’écho, n’y attachaient aucun crédit. Lire la suite

N° 161 Août/Sept 1958 - p. 1290-1303

Problèmes navals à l’ère des fusées - André-Georges Lemonnier

N° 144 Février 1957 - p. 177-185

La Méditerranée, mer essentielle - André-Georges Lemonnier

Seul espace maritime connu de nos Anciens, la Méditerranée ne représente plus à notre époque que la centième partie de la surface d’eau sillonnée par les lignes de navigation. Mais l’importance d’une mer ou d’un océan ne se mesure pas à sa superficie : elle tient avant tout à sa position. Or celle de la Méditerranée, à la jointure de trois continents, est telle que cette mer est et restera toujours « essentielle » non seulement pour les pays riverains, mais pour toutes les nations. Lire la suite

N° 114 Mai 1954 - p. 515-527

Deux ans de Collège NATO - André-Georges Lemonnier

Peu de Français, passant devant les bâtiments de l’École militaire, se doutent que derrière ses murs chargés d’Histoire, encore piquetés par les balles des combats de la Libération, se trouve installé le nouveau Collège Atlantique, à l’aile gauche, dans des salles aux peintures claires, à l’ameublement simple, d’un ultra-modernisme qui contraste singulièrement avec l’allure classique du vieil immeuble. Le Collège de Défense NATO n’est encore bien connu que dans les milieux au courant des organisations nées du Pacte Atlantique. Dans les Forces armées, dans les États-Majors, même, l’objet de cet établissement paraît à beaucoup encore mystérieux. Lire la suite

N° 084 Août/Sept 1951 - p. 107-133

Un second front était-il possible en 1942 ? - André-Georges Lemonnier

Cet article a été écrit alors que l'auteur était directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). On sait qu’en 1942, passé en Afrique du Nord au moment du débarquement allié, il fut d’abord directeur de la Marine marchande, puis, à partir d’août 1943, Chef d’état-major général de la Marine. À ce titre, il exerça le commandement des Forces maritimes et aéronavales françaises en 1943 et 1944. On sait également qu’il vient d’être récemment désigné comme adjoint naval du général Eisenhower à l’État-major Atlantique. Lire les premières lignes

N° 027 Août 1946 - p. 147-159

Débarquements et défense des côtes - André-Georges Lemonnier

Le débarquement ! Deux années si vite passées ont-elles suffi pour que s’évanouisse la magie de ce mot qui hanta pendant tant de mois l’esprit de millions de Français, partagés entre l’espoir et aussi l’inquiétude, car il faut bien reconnaître que les Français de l’intérieur, ignorant l’ampleur des préparatifs alliés, pouvaient être impressionnés par la force et les moyens de l’occupant et troublés par l’orgueilleuse confiance de son commandement. Tout le monde savait que sur nos côtes, les travaux de Todt allaient grand train et que des effectifs considérables — 64 divisions, plus d’un million de combattants — étaient maintenus sur le front Ouest pour parer à l’invasion. Lire la suite

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