Auteur : Philippe Mallard

L’amiral   Philippe Mallard a servi comme pilote de l'aéronautique navale et à bord de bâtiments de combat. Il a été préfet maritime, commandant de la Force d'action navale, major général de la Marine et contrôleur général des Armées.

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N° 651 Mars 2003 - Repères - Opinions - Débats - p. 117-126

Pour une tête bien faite - Philippe Mallard

La tête du ministère de la Défense a tendance à grossir : aux chaînes traditionnelles « verticales » sont venues s'ajouter les fonctions « transverses » et, plus récemment, les structures « matricielles ». Parallèlement, l'industrie de défense s'est considérablement condensée tandis que l'outil militaire s'amaigrissait, tant en volume qu'en pouvoir d'achat. Alors que les forces ont été réorganisées, il est temps de dessiner un échelon central mieux adapté aux conditions de la défense d'aujourd'hui. Sa corpulence pourrait être diminuée d'un tiers environ et sa structure mieux équilibrée entre commandement, armement et soutien administratif.

N° 647 Novembre 2002 - Repères - Opinions - Débats - p. 93-126

Après le 11 septembre : conséquences stratégiques pour la France (2e partie) - « L'adaptation de la politique de défense et des moyens militaires » - François Heisbourg, Philippe Mallard, André Soubirou, Yves Boyer

L'après-midi du 25 juin 2002 traitait de l'adaptation de la politique de défense et des moyens militaires français, notamment de l'éventualité d'un nouveau Livre blanc , ainsi que l'examen de la structure des forces françaises et de l'effort budgétaire à fournir. Lire la suite

N° 632 Juin 2001 - Salon du Bourget - p. 82-107

Colloque - Défense : quels projets après 2002 ? - J.-M. Boucheron, A. Boyer, Xavier Villepin (de), Serge Vinçon, Philippe Mallard

Organisé au Sénat le 8 avril 2001, ce colloque de l’association Diplomatie et défense, est ouvert par son président M. Serge Vinçon, qui place d’emblée le débat autour des lois de programmation, pour rappeler qu’elles n’ont jamais été respectées, pas plus d’ailleurs que ne l’étaient les lois de programmes. Regrettant que le budget de la défense serve de variable d’ajustement au budget de l’État, le sénateur insiste sur les conséquences d’une telle attitude qui conduit à étaler les programmes, reporter les investissements et finalement retarder l’arrivée du matériel et augmenter les coûts. Les difficultés sont connues, mais on voit mal comment rattraper les retards, retrouver la cohérence opérationnelle et redonner la priorité aux équipements.

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