Auteur : Jean Noiret

(1902-1967) Général français. Saint-cyrien. Cavalier, il commande 12e Cuirassiers, formant un sous-groupement au sein de la 2Division blindée (DB). Il est nommé général en 1949 dans les fonctions de directeur de cabinet du secrétaire d’État à la Guerre. Il commande l’École de cavalerie et la 25Division parachutiste (DP). Promu divisionnaire en 1953, il commande la division de Constantine, érigée en corps d’armée en 1956. Promu général de corps d’armée la même année, il commande ensuite la 1re Région militaire, puis, promu général d’armée, il achève sa carrière inspecteur général de l’Armée de terre.

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N° 210 Février 1963 - p. 204-213

Les formes de la guerre et de l’armée future (fin) - Jean Noiret

1. — On peut considérer aujourd’hui que tout belligérant éventuel, doté d’un armement nucléaire complet, dispose en permanence des moyens de déclencher une action de feux nucléaires sur l’ensemble du territoire adverse, de façon instantanée pour celui qui décide l’agression, avec un très faible retard pour celui qui n’entend que réagir, ces deux actions ayant toute chance, au moins initialement, d’atteindre leurs objectifs. Lire la suite

N° 209 Janvier 1963 - p. 5-22

Les formes de la guerre et de l’armée future (I) - Jean Noiret

Lorsque l’on cherche à poser les bases d’un système futur de forces armées pour la France, il est souvent admis que, devant l’inconnu de l’avenir, il faut essayer de mettre sur pied un outil plus ou moins polyvalent que l’on adaptera au dernier moment en fonction des besoins. Lire la suite

N° 082 Juin 1951 - p. 699-700

Correspondance - L'effort militaire suédois - Jean Noiret

Dans un article intitulé « Tour d’horizon stratégique » de la Revue de Défense Nationale d’août-septembre 1950, l’auteur, examinant les forces militaires en présence au début d’un éventuel conflit entre la Russie et ses satellites et les puissances du Bloc occidental, fait état des 35 000 hommes de l’Armée suédoise du temps de paix. Ce chiffre est à la fois trop élevé ou trop faible : trop élevé si l’on fait le bilan des forces dites de couverture, prêtes en tout temps à intervenir immédiatement et qui n’existent pas en Suède, trop faible si l’on fait la somme des forces de qualité qui peuvent être mises sur pied en quelques jours et qui ne doivent pas être méconnues. Lire la suite

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