Après Chamonix en 1924 et Grenoble en 1968, l’Armée de terre s’est à nouveau engagée dans la grande aventure des Jeux olympiques. Cette fois-ci elle a mis en place dans la région d’Albertville une structure particulièrement évoluée sur le plan technologique et à la mesure du 50e anniversaire de l’arme des Transmissions, fêté cette année. Lire la suite
Le mois dernier, la chronique décrivait, dans le cadre de l’ancienne organisation de l’Armée de terre, les conséquences mécaniques du service à 10 mois portant d’une part sur la nécessité d’incorporer 25 % de recrues supplémentaires pour rester à effectif constant, et se traduisant, d’autre part, par une déflation brutale, en août 1992, résultant du départ simultané de deux fractions de contingent. Lire la suite
L’opération Libage a été menée du 16 avril au 20 juillet 1991, en Irak du Nord à partir de la Turquie, pour venir en aide aux réfugiés kurdes qui avaient fui face à l’armée de Saddam Hussein après la guerre éclair du Golfe. Concentrés par centaines de milliers dans une zone de haute montagne située de part et d’autre de la frontière irako-turque, ils étaient confrontés à des conditions de vie dramatiques, dans des camps de circonstance répartis sur près de 200 kilomètres. Lire la suite
Les 136 AMX-10RC et AMX-30B2 de la division Daguet ont été appuyés, lors de l’offensive aéroterrestre, par 94 tubes de 155 français et américains auxquels il faut associer 18 Lance-roquettes multiples (LRM), 24 canons de 203 et 18 automoteurs de 155 du XVIIIe corps américain prévus en renforcement des feux. Ce ratio entre armes à tir direct et armements à tir courbe, sensiblement comparable d’ailleurs à celui du corps expéditionnaire britannique, est désormais un fait à prendre en compte. Lire la suite
« Le désert est le paradis des tacticiens mais l’enfer des logisticiens ». Cette maxime que l’on prête au maréchal Rommel trouve tout son sens dans le désert saoudien depuis le début de l’opération Daguet. Lire la suite
Depuis le 1er septembre 1990, la Ve région militaire expérimente les nouvelles structures Armées 2000. Ce plan vise un double objectif, opérationnel et économique, puisqu’il doit permettre une meilleure gestion des crises, mais aussi de mieux employer les ressources dans un contexte budgétaire difficile, tant en ce qui concerne les effectifs en personnels autorisés que les crédits alloués. Lire la suite
La réserve est aujourd’hui l’objet d’une attention toute particulière. Tout autant que sur sa perception, c’est aussi sur l’organisation de son instruction qu’il faut agir : deux axes sur lesquels les efforts sont en voie de définition. Lire les premières lignes
Le ministère de la Défense porte, cette année, une attention toute particulière à la promotion des forces de réserve tant au sein de l’armée active que dans la nation tout entière. Lire la suite
Après trois réformes majeures en 1967, 1975 et 1983, se traduisant à chaque fois par des réductions d’effectifs significatives, l’Armée de terre devra sans doute faire face bientôt à une nouvelle compression, alors que surviennent dans son organisation et ses techniques des transformations importantes. Lire la suite
L’École supérieure et d’application du matériel (ESAM) est exceptionnelle à bien des titres. Elle forme à la fois des techniciens de toutes les armes de l’Armée de terre et des personnels civils des grands corps de l’État ou même d’armées et d’institutions étatiques étrangères. Le site est unique dans les armées par son volume de formation : on y enseigne chaque année, à 3 500 stagiaires répartis en 250 types de stages différents, les techniques de maintenance de tous les matériels en service. Elle est d’ailleurs aussi unique par sa capacité d’accueil : c’est le plus grand hôtel de France avec 1 200 lits. Sur 80 hectares, pas moins de 40 000 mètres carrés de halls d’instruction et un amphithéâtre de 500 places, sont à la disposition des 600 instructeurs de l’école qui ont formé 60 000 stagiaires en 23 ans. Une grosse machine, mais qui reste à une dimension humaine dans chaque groupe de travail. La qualité de l’instruction l’exige. Lire la suite
« Les Troupes de Marine savent mieux que quiconque qu’il n’est de France que par le monde ». Ces mots prononcés par M. Jean-Pierre Chevènement, ministre de la Défense, à Fréjus, lors d’une récente commémoration des combats de « Bazeilles », traduisent bien la spécificité de cette arme jouissant d’une très forte réputation à l’intérieur de l’institution militaire, mais curieusement mal connue du grand public. Lire la suite
En cas de crise ou de conflit, l’Armée de terre est placée dans la nécessité de renforcer ses états-majors par des officiers de réserve de haute qualité, rompus aux travaux d’état-major et immédiatement utilisables de manière efficace. Lire la suite
Un an après le début de l’invasion de l'Ukraine par la Russie, quel est le bilan de l’action de l’Union européenne, de sa politique de sécurité et de défense et de sa solidarité avec l’Ukraine ? Le centre Europe Direct de la mission Europe du département de Seine-et-Marne initie un dialogue participatif entre le public, des élus et des experts sur le campus de Melun de l’Université Paris-Panthéon-Assas (Paris 2)
Avec la présence de :
Jean-Louis Thiériot, député de Seine-et-Marne, vice-président de la Commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale
Anne de Tinguy, historienne et politologue, spécialiste de la politique étrangère de la Russie et de l’Ukraine
Jean-Vincent Holeindre, professeur de sciences politiques, directeur du Centre Thucydide, centre de recherches en relations internationales (Paris 2)
Modération des débats par Marie-Christine Vallet, journaliste spécialiste des questions européennes.
À 18 h 30, amphithéâtre Reine Blanche du campus de Melun de l’Université Paris-Panthéon-Assas – 19, rue du Château 77000 Melun
Sur inscription : https://www.seine-et-marne.fr/fr/inscription-conference-conflit-russo-ukrainien
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