Officier supérieur breveté, chef de bureau synthèse-programmation à la division plans-opérations de l’état-major de la 1re Division des forces terrestres.
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Autonomie, subsidiarité et liberté d’action (T 1627)
- François Gonin - 6 pagesLe colonel Gonin fait le point sur les notions de subsidiarité, d'autonomie et de liberté d'action dans les doctrines françaises. Un éclairage bienvenu alors que des enjeux stratégiques majeurs pèsent sur nos armées dans un contexte géopolitique changeant.
Guerre ou paix, désordre ou ordre ? Quel équilibre nouveau ressortira de l’après-guerre en Ukraine ? De fait, la force est nécessaire mais sans justice, elle ne peut construire la paix, celle-ci exigeant davantage que la simple imposition d’un ordre par la coercition. Lire les premières lignes
L’introduction de la notion de continuum dans le Livre blanc de 2008 a marqué une rupture conceptuelle dans le champ de la défense. La problématique porte alors sur la belligérance et sa définition dans le cadre juridique avec un risque de confusion avec la criminalité de droit commun. Lire les premières lignes
Le conflit signifie un antagonisme entre deux parties, chacune se considérant comme légitime et justifiant son bon droit à agir. Cela oblige à réfléchir sur la notion de l’ennemi et son lien avec une approche morale, l’ennemi étant le « méchant ». D’où la dialectique du bien et du mal dans la guerre. Lire les premières lignes
Évoquer le combat comme le cœur du métier est trop simpliste pour rendre compte de la spécificité militaire. Plus que le combat, la finalité est d’abord la victoire, celle-ci le construisant en vue d’établir une paix durable, crédible et légitime. Lire les premières lignes
Défendre le territoire n’est pas chose aisée. Cela nécessite d’en comprendre la finalité et d’en définir les moyens. C’est donc bien une approche d’essence politique qui doit s’intéresser à la légitimité de l’emploi de la force armée face à un éventail de menaces de plus en plus polymorphes et complexes. Lire les premières lignes
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Les conflits actuels au Moyen-Orient et en Ukraine ont été le théâtre du déploiement de nouvelles sciences de la guerre, qui s’affranchissent et remettent en question la manière dont les conflits armés sont menés et pensés. La compréhension classique de la responsabilité dans la conduite des conflits armés et le droit de la guerre semblent dépassés. Comment alors repenser l’éthique et le droit de la guerre ?
Intervenants :
– Le général Jérôme Pellistrandi : saint-cyrien, diplômé de l’École de Guerre et docteur en histoire. Il est le rédacteur en chef de la Revue Défense Nationale depuis 2014.
– Sébastien Laurent : professeur des Universités à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye. A récemment publié : État secret, État clandestin : essai sur la transparence démocratique, Gallimard, Nrf-essais, 2024 et Le Renseignement, Paris, PUF, 2024.
– Laure de Rochegonde : directrice du Centre géopolitique des technologies de l’IFRI, enseignante de l’éthique de la guerre à Sciences Po Paris et à l’Université Paris II Panthéon-Assas.
Étudiant
– Denis Langlois
Débat animé par Anne-Bénédicte Hoffner Maujean.
Colloques, manifestations, expositions...
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