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  • Revue n° 480 Octobre 1987
  • Marine - À propos du colloque « Marine et technique au XIXe siècle »

Marine - À propos du colloque « Marine et technique au XIXe siècle »

François Villadret, « Marine - À propos du colloque « Marine et technique au XIXe siècle »  » Revue n° 480 Octobre 1987 - p. 179-184

Après s’être lancés sur la surface incertaine des eaux, les navigateurs se sont attachés à toujours perfectionner les esquifs dont dépendait leur existence. Au fil des ans, ils ont régulièrement appliqué de nouvelles inventions à leurs navires jusqu’à les conduire à la perfection des derniers grands voiliers. Soudain, au dix-neuvième siècle, une véritable explosion des sciences et des techniques bouscule cette adaptation progressive. En même temps qu’elle condamne la marine à voiles, cette révolution introduit dans les idées en matière navale une confusion durable qui n’est pas sans analogies avec les incertitudes d’aujourd’hui. L’étude de cette période peut donc aider à guider notre réflexion en cette fin du vingtième siècle. Le colloque international sur le thème « Marine et technique au dix-neuvième siècle », organisé en juin dernier par le Service historique de la Marine et l’Institut d’histoire des conflits contemporains, constitue à cet égard une source de première importance.

La puissance navale recouvrée

À de rares exceptions près, l’Anglais avait toujours été l’ennemi de la France sur mer. En 1815, la reconstitution de notre flotte ruinée par les guerres de la Révolution et de l’Empire ne pouvait donc se faire qu’en référence à la domination des escadres anglaises, et notre politique navale s’efforcer de combattre les conséquences de cette suprématie. Le souvenir de la dévastation régulière de nos côtes et du blocus serré des ports qui nous contraignait à une course hasardeuse nous incitait à rechercher la perfection des moyens pour contrer la supériorité numérique de la flotte anglaise, en comblant le retard technique pris durant vingt années de guerre. Les résultats dépasseront nos espérances. Alors que la Grande-Bretagne, sûre de son avance, ne cherchait aucunement à susciter des évolutions qui pouvaient dévaloriser son capital, la France sut exploiter rapidement les possibilités de la vapeur et de l’obus explosif et construire des navires dont les performances surclassaient nettement celles des navires britanniques. Grâce en particulier à la ténacité du prince de Joinville et au génie de Dupuy de Lôme, ce renouveau nous permettait de rejoindre l’éternelle rivale.

La lente gestation de la propulsion mécanique

Dès la fin du XVIIIe siècle, le Clermont à vapeur de Fulton naviguait sur l’Hudson. En 1810, les premiers navires marchands à vapeur prennent la mer ; en 1829, la France lance le premier navire de guerre à roues, le Sphinx. Le Napoléon est construit en 1850, puis la Gloire en 1858, imitée quelques années plus tard par le Warrior britannique. Vers 1880, la voile disparaît totalement des flottes de guerre.

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Plan de l'article

La puissance navale recouvrée

La lente gestation de la propulsion mécanique

L’obus explosif et la cuirasse

Les errements stratégiques

La « jeune école »

Le déclin naval

La sanction : Fachoda et l’Entente cordiale

Les leçons d’un siècle

L’école « matérielle »

L’école « historique »

Le bilan

 
 

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La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

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