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  • L’Armée au pays du Cèdre (T 1041)

L’Armée au pays du Cèdre (T 1041)

Clémentine Laucournet, « L’Armée au pays du Cèdre (T 1041)  », RDN, 20 septembre 2018 - 4 pages

Le Liban incarne toute la complexité de la région du Levant avec des équilibres très fragiles remis en cause par de nombreux protagonistes au cours des conflits qui n’ont cessé de diviser le pays. L’armée libanaise, malgré ses faiblesses, contribue à conserver un sens à la souveraineté libanaise et participe au renforcement d’une unité nationale toujours remise en cause par certains.

The Army in the Land of Cedar

Lebanon embodies all the complexity of the Levant region with very fragile balances challenged by many protagonists during the conflicts that have continued to divide the country. The Lebanese army, despite its weaknesses, helps maintain a sense of Lebanese sovereignty and helps to strengthen a national unity still questioned by some.

En mai 2008, les proches du Hezbollah protestaient dans les rues de Beyrouth contre l’attitude du gouvernement de Saad Hariri. De l’extérieur, ces protestations faisaient penser à la guerre civile qu’avait traversé le Liban entre 1975 et 1990. Face à ce genre de situation, l’armée libanaise est appelée pour rétablir l’ordre. Elle opte alors pour la neutralité : elle protège les protagonistes et n’intervient pas dans le conflit. Cet événement illustre l’état sécuritaire au Liban, qui fait cohabiter deux acteurs : l’armée et un groupe armé irrégulier (en l’occurrence le Hezbollah). Généralement, au sein d’un État, c’est ce dernier qui détient le monopole de la « violence légitime » (théorie de Max Weber) mais au pays du Cèdre, rien n’est moins sûr !

L’armée libanaise participe au maintien de l’État, sans pour autant l’avoir accompagné dans sa construction, conséquence de la présence des mandataires français dès la chute de l’Empire ottoman après la fin de la Première Guerre mondiale. En effet, la présence militaire est ici un élément extérieur importé. Selon Charles Tilly, la guerre – ou la rivalité – favorise la construction d’un État car elle engendre, de facto, le contrôle d’un territoire et la monopolisation des armes par un seul dirigeant. Dans le cas libanais, l’instabilité régionale et le conflit contre Israël en 1948 n’ont pas permis l’émancipation de l’armée nationale. Dans un souci de préservation de sa stabilité, le Liban choisit la neutralité.

Qui assure la sécurité au Liban, où la « privatisation de l’État » (selon l’expression de Béatrice Hibou) et l’internationalisation de son territoire (présence de la Finul – Force intérimaire des Nations unies au Liban – depuis 1978) déchirent le pays ? Comment l’armée libanaise se caractérise-t-elle ? Il semblerait qu’elle ne soit pas une exception dans le fait qu’elle ne détienne pas le monopole de la violence. Ainsi, cet article se propose de la présenter avec ses caractéristiques, son passé et le lien qu’elle entretient vis-à-vis du pouvoir politique. Il tentera ensuite d’analyser le contexte local et régional afin d’appréhender son évolution depuis 1975.

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