Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 319 Février 1973
  • Politique et diplomatie - Helsinki et après

Politique et diplomatie - Helsinki et après

Jacques Vernant, « Politique et diplomatie - Helsinki et après  » Revue n° 319 Février 1973 - p. 111-116

La préparation multilatérale de la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe (CSCE) a commencé à Helsinki le 22 novembre dernier au niveau des Ambassadeurs. 34 États étaient représentés : tous les États européens à l’exception de l’Albanie qui n’avait pas accepté l’invitation du gouvernement finlandais, plus les États-Unis et le Canada. Parmi les États européens représentés, il faut mentionner le Vatican, Malte, Chypre et la République de San Marin. Pour la première fois, les deux États allemands figuraient côte à côte dans une conférence internationale, sans que leur participation ait donné lieu au moindre problème politique.

L’objet de cette première phase de la Conférence est d’en fixer les règles de procédure et l’ordre du jour. Sur ces deux points, les discussions ont d’emblée manifesté le caractère ouvert des échanges de vues. Conformément aux vœux exprimés par le gouvernement français et aux prévisions qui avaient été faites, les discussions ont en effet dans l’ensemble permis aux États de faire entendre leur propre point de vue. La polarisation, que certains souhaitaient, que d’autres craignaient, ne s’est pas produite. Si la solidarité des alliances existantes est une réalité qu’aucun État ne peut ignorer, elle n’a pas empêché que chacun parle pour son propre compte. Il en est résulté que les débats préparatoires ont quelquefois débordé les questions de procédure et la stricte définition d’un ordre du jour pour aborder des problèmes de fond. En conséquence, cette phase que le gouvernement français souhaitait voir assez courte pour permettre un débat au fond lors de la conférence proprement dite s’est prolongée au-delà de ce que l’on avait initialement escompté à Paris.

Les positions les plus remarquées ont été prises par des pays de l’Europe de l’Est. Les représentants yougoslaves ont en effet demandé que les questions d’ordre technique telles que la procédure ou l’ordre du jour ne fassent pas l’objet de décisions avant que n’aient été abordées et tranchées les questions de fond touchant à la signification même de la conférence. Pour les Yougoslaves en effet, comme pour d’autres pays de l’Est comme de l’Ouest, l’intérêt de la conférence n’est pas tant de confirmer ou d’accentuer les tendances à la coopération, qui se développe d’elle-même, que d’imaginer et de mettre en place des mesures qui renforcent leur sécurité. En conséquence, tous ces pays insistent pour que la conférence sur la sécurité et la coopération en Europe justifie son titre en examinant les aspects militaires de la sécurité en Europe.

Il reste 79 % de l'article à lire

 
 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Juin 2025
n° 881

L’avenir des alliances militaires

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

04-06-2025

Une 4e FDI pour la Grèce

19-05-2025

Exposition « Jean Gaumy et la mer » au Musée national de la Marine

14-05-2025

Maritimisation et trafic portuaire : bilan 2024

14-05-2025

Observations de la Cour des comptes sur l’organisation budgétaire de la mission « Défense »

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.