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  • Revue n° 431 Avril 1983
  • Faits et dires

Faits et dires

, « Faits et dires  » Revue n° 431 Avril 1983 - p. 192-193

* La défense de la paix et de la sécurité doit rester au premier plan des sujets d’intérêts communs aux deux pays à traiter dans le meilleur esprit.

Président François Mitterrand, 3 février 1983,
à l’ambassadeur d’URSS

* Suffisantes pour garantir nos intérêts vitaux, nos armes nucléaires n’ont pas aujourd’hui vocation, et elles ne l’auront pas dans l’avenir, à assurer la protection de toute la zone européenne de l’Alliance atlantique. Elles ne peuvent pas non plus être utilisées à cette fin puisque nous en conservons le contrôle exclusif. La sécurité des territoires européens qui n’ont pas d’armes nucléaires ne peut donc provenir que du commandement intégré de l’Otan, c’est-à-dire en fait des États-Unis.

M. Claude Cheysson, le 25 février 1983,
au Wall Street Journal

* Nous souhaitons que les dimensions gigantesques des arsenaux des deux puissances surarmées et leur disproportion par rapport à ceux des autres pays puissent être réduites. Alors, il y aurait quelque sens à parler de l’ensemble des forces nucléaires dans le monde et nous nous y prêterions avec conviction.

M. Claude Cheysson, 18 février 1983,
à Moscou

* L’esprit de défense des citoyens et la crédibilité de notre dissuasion ne pourraient que se trouver renforcés par des mesures de protection civile des populations et des installations… Dans le cas d’une crise majeure, sous chantage nucléaire, les mesures préalables de protection signifieraient à l’adversaire notre détermination de recourir aux représailles massives, renforçant ainsi la crédibilité psychologique de la dissuasion.

Général Lacaze,
Chef d’état-major des armées

* On ne peut pas demander au gouvernement français de réduire sa force de dissuasion. Que les grandes puissances commencent, aboutissent à des décisions, et le problème de la prise en compte de notre force de dissuasion se trouvera posé.

M. Georges Marchais,
23 février 1983

* En matière de sécurité internationale, la position de M. Mitterrand me paraît très raisonnable. Il s’est montré un ami fort loyal des États-Unis. De plus, la force de dissuasion française est une arme formidable : la preuve, c’est qu’elle complique la vie des Soviétiques. Il est hors de question de l’inclure dans un éventuel accord de désarmement soviéto-américain.

Richard Allen, 8 février 1983,
au Quotidien de Paris

* Si l’installation de nouveaux missiles nucléaires américains sur le sol européen était sur le point de se réaliser, il serait naïf de croire que l’Union soviétique ne prendrait pas alors des mesures adéquates pour empêcher que l’équilibre actuel soit rompu. Or, un nouvel équilibre se situera à un niveau plus élevé. On peut se demander si une telle éventualité renforcerait la sécurité de qui que ce soit.

M. Andrei Gromyko, le 18 février 1983,
recevant M. Claude Cheysson

* Bien qu’il reste à entreprendre beaucoup de marchandages difficiles, je suis déterminé à marchander de bonne foi jusqu’à ce que nos objectifs puissent être réalisés.

Président Reagan,
le 10 février 1983, au Congrès

* Controverse à propos des euromissiles : le vice-président George Herbert W. Bush déclarait le 4 février 1983 à Genève devant le comité du désarmement des Nations unies : « Bien entendu nous continuerons à prêter la plus grande attention à toute proposition constructive soviétique. Notre proposition (option zéro) n’est pas simplement une offre à prendre ou à laisser ». Au même moment à Londres, Mme Margaret Thatcher, recevant le chancelier Helmut Kohl, affirmait qu’un « accord intermédiaire qui ne laisserait pas le monopole des armes nucléaires à moyenne portée aux Soviétiques serait acceptable ». Peu après, dans Le Monde du 19 février 1983, M. Valéry Giscard d’Estaing suggérait de passer du concept de l’option zéro à celui de l’objectif zéro. On prit soin alors à Washington de réaffirmer que la proposition du président Reagan restait la seule base de discussion.

* Le synode de l’Église d’Angleterre a rejeté le 10 février 1983 l’idée d’un désarmement unilatéral. L’archevêque de Canterbury, le Dr Robert Runcie, a notamment déclaré : « L’annonce par le Royaume-Uni d’un désengagement progressif de toute forme d’armement nucléaire aurait un effet dramatique sur l’Alliance atlantique… Je ne peux pas accepter l’unilatéralisme comme la meilleure expression d’un devoir primordial des chrétiens, être des pacificateurs ».

* En tant qu’État indépendant et souverain, le Japon est justifié à maintenir une force armée, mais une telle force doit être orientée vers des tâches de défense et doit être d’une importance appropriée afin de ne pas constituer une menace pour des pays voisins.

M. Wu Xueqian, ministre chinois des Affaires étrangères,
le 18 février 1983, s’adressant à une délégation nippone

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