Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 496 Mars 1989
  • Afrique - Soudan : négociations, crise, misère et confusion - La Côte d'Ivoire jette le trouble sur le marché du cacao

Afrique - Soudan : négociations, crise, misère et confusion - La Côte d'Ivoire jette le trouble sur le marché du cacao

Bernard Brionne, Bernard Guillerez, « Afrique - Soudan : négociations, crise, misère et confusion - La Côte d'Ivoire jette le trouble sur le marché du cacao  » Revue n° 496 Mars 1989 - p. 187-194

Soudan : négociations, crises, misère et confusion (*)

La situation intérieure du Soudan devient de plus en plus confuse et préoccupante. Cela provient en partie de ce que chaque formation politique agit dans une direction que ceux qui la soutiennent paraissent les moins bien disposés à accepter. La faute en revient aux relations ambiguës que les dirigeants de ces mouvements entretiennent entre eux et qui les rendent plus ou moins dépendants du succès de leurs tactiques « politiciennes ». Les partis traditionnels correspondant en effet à des sensibilités religieuses localisées ou exprimées dans le cadre d’ethnies bien définies, leurs dirigeants ne sont pas liés par des engagements idéologiques ; ils agissent en fonction des possibilités d’intervention, sur leur terrain d’élection, de partis formés plus récemment et ayant une vocation « nationale », par conséquent utilisant pour séduire des arguments idéologiques. L’attitude de ces dirigeants est évidemment différente selon qu’ils ont la responsabilité directe du pouvoir ou qu’ils se placent soit en marge de ce pouvoir soit carrément dans l’opposition. Il va de soi – ce qui rend le sujet plus complexe – que tout parti qui participe à la coalition gouvernementale compte quelques membres importants qui se comportent comme s’ils étaient dans l’opposition, afin de préserver leur propre avenir ou, pour les plus désintéressés, celui de leur parti. Avec ces données, nous allons essayer d’éclairer la situation soudanaise, sans être bien assuré de pouvoir transmettre cette clarté.

Comme on le sait, le Soudan est un pays artificiel conçu pour limiter l’influence égyptienne sur la haute vallée du Nil, sans pour autant le couper de ses liens économiques et spirituels avec ce qui fut historiquement la monarchie des « deux terres ». La vie politique et la démocratie y ont cependant des assises traditionnelles, qui correspondent à la double vocation initiale du pays. Après avoir uni des populations par des liens religieux pour ainsi dire « personnalisés », les sectes se sont dotées peu à peu de partis politiques. Deux formations se sont ainsi partagé le pouvoir après la constitution de l’État, malgré ou à cause de l’autorité du colonisateur britannique. La Khatmia, proche de l’Égypte, fournit l’encadrement du « Parti unioniste démocratique » (PUD). Les Ansars, soucieux de maintenir l’originalité de la personnalité soudanaise et celle d’un islam « noir », participent au jeu électoral par l’intermédiaire du parti Oumma. L’un et l’autre n’ont qu’un développement régional. Ils ne peuvent avoir une dimension nationale l’un sans l’autre. Les expériences passées l’ont montré.

Il reste 90 % de l'article à lire

 
 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Juin 2025
n° 881

L’avenir des alliances militaires

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

04-07-2025

Le ministère des Armées totalise 4 milliards d’euros de nouvelles commandes

26-06-2025

Retour sur le sommet de l’Otan 2025

18-06-2025

Lettre d’intention entre la France et l’Espagne pour assurer la production d’A400M Atlas jusqu’à fin 2028

10-06-2025

Salon du Bourget 2025 : l’Onera développe ses projets d’innovation phares

04-06-2025

Une 4e FDI pour la Grèce

01-06-2025

Polaris 25 : une préparation grandeur nature à la guerre de haute intensité

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.