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  • Revue n° 762 Été 2013
  • PSDC et prise de risque : telle est la question

PSDC et prise de risque : telle est la question

André Dumoulin, « PSDC et prise de risque : telle est la question  » Revue n° 762 Été 2013 - p. 88-93

C’est de réponse d’urgence, de risque consenti et de solidarité que l’auteur traite comme ingrédients d’un patriotisme européen dont il cherche la trace dans les récentes opérations et sollicite la stimulation lors du prochain conseil européen consacré à la défense.

CSDP and Taking Risk: That is the Question

In analysing a number of recent operations, the author sees the response to emergency, accepted risk and broad solidarity as the common ingredients of European patriotism, and calls for their stimulation during the next European Council meeting dedicated to defence.

Au moment où sont écrites ces lignes (1), six soldats français ont été tués au Mali, cela, sans parler des dizaines d’Africains des pays partenaires. Certes, il ne s’agit pas encore ici d’une opération associée au sens strict à la Politique européenne de sécurité et de défense de l’Union européenne, l’UE, mais l’opération Serval fut engagée à la fois selon une logique stratégique hexagonale et pour répondre à une crise majeure, aux effets pouvant affecter à terme la sécurité européenne. D’une certaine manière, l’opération française s’inscrivait bel et bien dans l’esprit de la Stratégie européenne de sécurité à propos de la définition commune des risques et menaces.

Agir seuls dans l’urgence ?

Au-delà des motivations stratégiques, économiques, diplomatiques et mêmes culturelles de cette intervention majoritairement soutenue par les citoyens hexagonaux (2), le Mali fut pris comme un exemple de la non ou de la faible solidarité entre États européens qui ont, à la carte, à leur vitesse, en fonction de choix politiques, contraintes parlementaires ou capacités financières, décidé d’en être ou pas. Aux déclarations de soutien strictement politique de pays européens, « sans risque », s’ajoutèrent les apports logistiques et autres capacités aériennes diverses venant de la Belgique, des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada, du Danemark, de l’Italie, de l’Espagne, des Pays-Bas et, avec retard, de l’Allemagne pour soutenir l’opération Serval. Nous fûmes bel et bien dans le domaine bilatéral avec des apports néanmoins appréciés et dans un cadre de visibilité diplomatico-militaire nationale minimale. Nous fûmes également dans l’usage du pool européen d’avions de transport EATC (European Air Transport Command) d’Eindhoven (3) aux cocardes toujours nationales, mais qui a géré l’envoi de certains appareils européens sur demande hexagonale.

Cette frilosité atteindra aussi les instances européennes où Bruxelles se hâta lentement (4) à approuver le concept d’opération au Mali impliquant la formation de l’armée malienne (EUTM Mali). Assez vite, l’intervention rapide française et ses premiers résultats sur le terrain furent mis en parallèle avec la sélectivité des alliés européens concernant leur participation, les moyens affectés et au sujet des risques pris sur le terrain. Les exemples ne manquèrent pas sur la retenue, la prudence et les points de chute des appareils « prêtés » ; autant d’éléments révélateurs à maints égards, mais pas « anormaux » autour de caveats. Il n’y a pas eu de présence militaire de pays européens au sol (infanterie) ou par frappe d’aviation de combat aux côtés des Français lors de l’engagement en urgence, ce qui aurait d’ailleurs conduit à d’autres difficultés organisationnelles.

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Plan de l'article

Agir seuls dans l’urgence ?

Susciter la solidarité européenne

Prise de risque et dernier mot national

Vers un patriotisme européen ?

 
 

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