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  • Revue n° 211 Mars 1963
  • Traité de sociologie du travail. T. I 

Traité de sociologie du travail. T. I 

Jean Némo, « Traité de sociologie du travail. T. I   » Revue n° 211 Mars 1963 - p. 547-547
Auteur(s) de l'ouvrage : Georges Friedmann et Pierre Naville Éditions Armand Colin, 1961 ; 468 pages

On souscrit volontiers à l’opinion des auteurs, lorsqu’ils écrivent, dans leur avant-propos, qu’un « ouvrage panoramique et synthétique » des recherches de sociologie appliquées aux activités du travail était nécessaire. Lorsqu’on a lu le tome I de cet ouvrage – dont le second tome doit paraître prochainement – cette opinion paraît encore plus évidente. Il était urgent qu’il existât un traité de cette sorte, en langue française, et principalement orienté vers les problèmes français.

La complexité des questions traitées apparaît d’abord dans le nombre des spécialistes qui se sont partagé la rédaction des différents chapitres, suivant la discipline pour laquelle chacun d’eux était plus particulièrement qualifié. Mais elle apparaît plus encore dans le texte lui-même et dans les précautions que les auteurs ont prises pour traiter de leurs sujets. La sociologie est une science récente, aux limites encore mal précisées ; ses méthodes ne sont pas définitivement arrêtées. Lorsqu’elle s’applique au monde du travail, à un moment où il se transforme sous l’effet d’une industrialisation généralisée, dans les pays développés et dans les pays sous-développés, la difficulté de son maniement est encore plus grande.

C’est pourquoi, dans la première partie, consacrée aux définitions et aux méthodes, le lecteur désireux de certitudes sera-t-il peut-être déçu. Qu’il s’agisse de méthodologie, ou des relations entre la sociologie du travail, les sciences sociales et les sciences de l’homme, les interprétations des auteurs pourront paraître ou prudentes, ou complexes ; elles n’en montrent pas moins les difficultés du terrain sur lequel s’avancent les chercheurs, et les plages communes où les frontières de la sociologie du travail et de la géographie, de l’ethnologie, de l’économie, de la psychologie sous ses différents aspects, restent encore à fixer.

La seconde partie – qui traite de l’industrie, de la population et de l’emploi – étudie des domaines plus familiers, cependant mal connus généralement. Si tout le monde a entendu parler de théories de l’emploi, d’orientation et de formation professionnelle, de répartition de la main-d’œuvre, il ne faut pas en conclure que leurs données en soient correctement définies et appréciées. Les chapitres consacrés à ces questions ont le grand mérite d’être clairs, et de poser les problèmes en termes concrets, voire statistiques, toutes les fois que la chose est possible. C’est dans cette seconde partie que le lecteur, désireux de trouver des renseignements immédiatement applicables, rencontrera les éléments les plus sûrs d’une réflexion et d’une action.

La lecture de l’ensemble de l’ouvrage est évidemment assez austère, mais beaucoup moins qu’on ne l’imagine au premier abord. Même pour le non-spécialiste, il est aisé de lire cet épais volume de bout en bout, et il n’est certes pas exagéré d’écrire que cette lecture sera très profitable à tous ceux qui veulent se tenir au courant de l’évolution du monde moderne, et savoir, autrement que par des impressions et des approximations, comment une science aussi complète que la sociologie du travail l’envisage, l’explique et peut permettre, dans une certaine mesure, de la prévoir. ♦

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