Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 407 Février 1981
  • Les trois partis communistes de Malaisie

Les trois partis communistes de Malaisie

Martial Dassé, « Les trois partis communistes de Malaisie  » Revue n° 407 Février 1981 - p. 123-136

La théorie des dominos, qui consistait à proclamer qu'après le passage de l'Indochine dans le camp communiste, la Thaïlande et la Malaisie tomberaient à leur tour, semble se révéler chaque jour un peu plus fausse. Le Vietnam rencontre de grandes difficultés pour imposer sa loi au Laos et au Cambodge, et doit faire face à la menace de la Chine. En outre, le conflit sino-vietnamien a eu pour conséquence que le parti communiste de Thaïlande s'est scindé en deux groupes, l'un prochinois et l'autre prosoviétique (voir notre article « L'éclatement du parti communiste de Thaïlande », Défense Nationale, juin 1980). En Malaisie, le mouvement communiste est confronté à de graves problèmes depuis que le parti communiste s'est divisé en trois tendances.

C’est à partir de 1923 que les premiers agents chinois communistes arrivent en Malaisie et à Singapour. En 1926, ils constituent à Singapour le syndicat général des mers du sud, qui change son nom, en 1928, en parti communiste des mers du sud. Puis se forme le PC de Malaisie (PCM) en 1930. Aussitôt, la police anglaise en capture les principaux dirigeants, le réduisant presque à néant. Par un curieux renversement de l’histoire, ce seront les Britanniques qui favoriseront sa véritable naissance.


En décembre 1941, quelques jours avant l’invasion japonaise, le PCM contacte les autorités anglaises pour leur proposer sa coopération. L’offre est acceptée et les membres du PCM sont entraînés à la guerre de jungle. Peu avant la chute de Singapour, les communistes ayant reçu une formation militaire sont disséminés en Malaisie, pour être finalement encadrés en des régiments indépendants constituant l’armée populaire malaise anti-japonaise (APMAJ). En avril 1945, le PCM dévoile son nouvel objectif à ses troupes, qui est « la lutte pour la libération nationale » et le développement de forces armées afin de créer une « armée de libération » dans le but d’établir une république démocratique populaire à la fin des hostilités. Les Britanniques sont conscients de ces visées, mais décident de prendre un risque calculé en soutenant les unités de guérillas du PCM qui se révèlent encore d’une nécessité vitale face aux Japonais (1). En décembre 1945, après la reddition japonaise, les guérilleros formés par les Britanniques sont démobilisés et forment une association des anciens de l’APMAJ et la fédération des syndicats pan-malais, infiltrant en même temps tous les autres syndicats. En outre, de nombreuses armes ont été gardées, et près de 4 000 guérilleros recrutés durant la guerre demeurent cachés dans les jungles.

Il reste 93 % de l'article à lire

 

Plan de l'article

De la naissance à l’échec de l’insurrection armée

Le repli en Thaïlande

La dissidence du PCM-faction révolutionnaire et du PCM-marxiste-léniniste

Le conflit entre les trois PCM

La collaboration des autorités thaïlando-malaises

 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Juin 2025
n° 881

L’avenir des alliances militaires

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

04-07-2025

Le ministère des Armées totalise 4 milliards d’euros de nouvelles commandes

26-06-2025

Retour sur le sommet de l’Otan 2025

18-06-2025

Lettre d’intention entre la France et l’Espagne pour assurer la production d’A400M Atlas jusqu’à fin 2028

10-06-2025

Salon du Bourget 2025 : l’Onera développe ses projets d’innovation phares

04-06-2025

Une 4e FDI pour la Grèce

01-06-2025

Polaris 25 : une préparation grandeur nature à la guerre de haute intensité

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.