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  • Revue n° 452 Mars 1985
  • « Qui s'y frotte s'y tue » ou les perspectives d'évolution de la dissuasion française

« Qui s'y frotte s'y tue » ou les perspectives d'évolution de la dissuasion française

Jacques Bonnemaison, « « Qui s'y frotte s'y tue » ou les perspectives d'évolution de la dissuasion française  » Revue n° 452 Mars 1985 - p. 15-28

L'auteur a commandé il y a peu de temps la Force océanique stratégique (Fost) et les forces sous-marines : c'est dire combien il est au fait de la doctrine de dissuasion française. Des événements récents et diverses prises de position – en France comme à l'étranger – l'ont conduit à démontrer que cette dissuasion garde toute sa crédibilité, et la conservera encore longtemps si l'effort budgétaire nécessaire est soigneusement pris en compte dans une économie qui connaît et connaîtra des moments difficiles.

Ce pourrait être le premier commandement ou la première idée-force de la dissuasion.

Le succès d’une politique de dissuasion est en effet dû à « l’achat » par l’agresseur du produit dissuasif qui lui est proposé. Par exemple, devant la coercition en puissance exercée par le chien sur le hérisson, « l’achat » de la boule piquante de celui-ci est concrétisé par les aboiements de celui-là, coercitifs certes parce qu’ils symbolisent et concrétisent la pression, mais approbateurs du marché qui lui est proposé.

Nous pourrions résumer ceci en disant : la dissuasion est un produit acheté en permanence par un agresseur potentiel ; ce produit, pour être efficace, doit être bon, inaltérable, bien géré et bien vendu, c’est-à-dire perçu comme tel ; c’est à travers les sens et l’esprit de l’acheteur qu’il faut vérifier la qualité du produit qu’on lui vend. Enfin, c’est le dissuadé qu’il faut convaincre : « mettez-vous à sa place pour juger votre produit ».

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Plan de l'article

L’adversaire est juge de la dissuasion

L’adversaire n’attaquera pas s’il peut faire autrement

C’est pourquoi la possession d’armement stratégique est source de mesure et de compromis

Les trois idées-forces précédentes sont les axiomes de tous les dialogues coercition-dissuasion

Le dispositif militaire soviétique est celui d’un pays qui est « maître du jour et de l’heure »

Imaginons maintenant que l’Union Soviétique soit désireuse d’aller au bout de son expansion

La réponse flexible stratégique

Notons donc qu’une réponse flexible stratégique serait suicidaire pour la France

Comment dans ces conditions, l’URSS pourrait envisager de conquérir l’Europe de l’Ouest sans conflit armé, et par conséquent ultimement la France ? Comment contourner notre dissuasion ?

Évoquons maintenant plus à fond le neutralisme allemand et les menaces sur les routes d’approvisionnements

Parmi les moyens militaires en Europe, on a parlé récemment de l’emploi des armes chimiques et biologiques et de leur aptitude à mettre en échec la dissuasion nucléaire

On peut se demander également si la lutte dans l’espace n’est pas de nature à remettre en cause les armements stratégiques français et britanniques

Avant de conclure il pourrait être intéressant de « voir les Russes comme ils imaginent que nous les voyons »

En fait, la question essentielle que l’on peut se poser est celle de savoir si la dissuasion française couvre tous les cas de figure

 
 

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