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  • Revue n° 475 Avril 1987
  • Transferts de technologie au profit de l'URSS : les pays frères

Transferts de technologie au profit de l'URSS : les pays frères

Henri Regnard, « Transferts de technologie au profit de l'URSS : les pays frères  » Revue n° 475 Avril 1987 - p. 21-31

Il est patent que les écarts technologiques entre l'URSS et l'Occident sont très importants dans de nombreux domaines et que cette situation, défavorable pour la première, risque de s'aggraver dans l'avenir. C'est pourquoi l'Union soviétique a soigneusement organisé le recueil de renseignements techniques occidentaux par l'intermédiaire de ses amis, les pays satellites (voir RDN, mars 1987 : « La microélectronique en RDA »). L'auteur donne un aperçu fort instructif de la répartition des tâches entre ceux-ci.

Le système soviétique de recueil dans le monde occidental du renseignement scientifique, technique et technologique est maintenant connu sinon du grand public du moins des spécialistes. Il est compliqué et lourd, c’est un splendide exemple de centralisation bureaucratique. Il est tout entier tourné vers l’acquisition, essentiellement par l’espionnage, du renseignement d’origine occidentale. La « commission du présidium du Conseil des ministres de l’URSS pour les questions d’industrie militaire » (VPK) constitue la clé de voûte de l’ensemble de ce système. Composée des douze ministres ayant en charge un ministère concerné par l’industrie militaire, elle est présidée depuis fin 1985 par Iouri Dimitrievitch Maslioukov, vice-président du Conseil des ministres et successeur de Léonid Vassilievitch Smirnov qui occupait cette fonction depuis 1963. La commission pour l’industrie militaire est à la fois un organe politique et de direction technique. À ce dernier titre, elle définit et fixe les objectifs de recherche aux cinq agences de renseignement chargées notamment par l’espionnage de collecter sur le terrain, c’est-à-dire en Occident, les informations et les documents relatifs à des techniques de pointe, à des procédés d’avant-garde qui finalement iront enrichir le complexe militaro-industriel de l’Union Soviétique.

Ces agences ont été numérotées par les Soviétiques eux-mêmes, sans doute suivant leur importance, de I à V. Services de renseignement par vocation, le KGB (I) et le GRU (II) sont les deux agences les plus actives et aussi les plus connues. On trouve néanmoins sur le même plan et se livrant aussi à l’espionnage, le comité d’État pour la science et la technique (GKNT) (III), l’agence IV spécialisée dans le contournement d’embargo et le ministère du Commerce extérieur (V) (1).

La section D du KGB

Le KGB se différencie par rapport à ses autres protagonistes et joue un rôle particulier dans l’ensemble du système VPK. Il se singularise surtout par une activité tout à fait spécifique de coordination et d’animation des services de renseignement des pays du Pacte de Varsovie, qui participent tous, à des degrés divers, au profit de l’Union Soviétique, à la collecte du renseignement scientifique, technique et technologique d’origine occidentale.

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Plan de l'article

La section D du KGB

Le rôle dominant des services est-allemands

Les autres services des pays satellites

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