Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Articles
  • Il y a 60 ans – Le Général Weygand (1867-1965), la haute conscience de l’armée (T 1675)

Il y a 60 ans – Le Général Weygand (1867-1965), la haute conscience de l’armée (T 1675)

Claude Franc, « Il y a 60 ans – Le Général Weygand (1867-1965), la haute conscience de l’armée (T 1675)  », RDN, 28 janvier 2025 - 6 pages

Weygand à son bureau en 1930
Weygand à son bureau en 1930

À l'occasion des 60 ans de la mort du général Maxime Weygan, le colonel Claude Franc revient sur cette figure de l'armée française qui marqua la première moitié du XXe siècle, étant un officier qui joua un rôle important pendant les Première et Seconde Guerres mondiales.

60 years ago —Le Général Weygand (1867-1965), Army's high awarness

On the occasion of the 60th anniversary of the death of General Maxime Weygan, Colonel Claude Franc looks back at this figure of the French army who marked the first half of the 20th century, being an officer who played an important role during the First and Second World Wars.

Il y a 60 ans, le 28 janvier 1965, le général Weygand disparaissait dans sa 99e année, victime d’une chute fatale dans son appartement parisien. En fait, si on veut évoquer la figure de ce grand soldat, on ne peut que constater que Weygand se trouve au centre d’un carré dont les côtés sont, d’abord le cavalier d’avant-guerre, puis le chef d’état-major de Foch, véritable ombre de ce dernier, ensuite le chef vaincu de 1940 qui s’est lancé immédiatement dans la reconstitution d’une nouvelle armée française et, enfin la grande conscience militaire française de l’après-guerre, durant presque vingt ans.

Mais auparavant, il convient de souligner une singularité de Weygand, qui l’obsédera toute sa vie : naturalisé français au cours de son stage d’application à l’École de Cavalerie, et donc né étranger, Weygand ne connaîtra jamais l’identité véritable de ses parents. Aujourd’hui, de récents travaux (1) le concernant ont fait apparaître, sans beaucoup d’ambigüité possible, qu’il serait le fils naturel de l’impératrice Charlotte du Mexique (fille du roi des Belges Léopold Ier et épouse de l’empereur Maximilien, lui-même frère cadet de l’empereur François Joseph) et d’un des aides de camp de son mari. Cette naissance pèsera sur sa personnalité. Ainsi au cours de l’été 1942, lorsque Giraud, récemment évadé d’Allemagne, vient se mettre à ses ordres pour le moment où la France rentrera à nouveau en guerre, Weygand lui oppose l’impossibilité d’une telle sédition, au motif qu’il n’est pas né français.

Weygand cavalier

À sa sortie de Saint-Cyr, Weygand choisit la cavalerie et son année d’application à Saumur sera pour lui à la fois une révélation et la confirmation de la pertinence de son choix. Toute sa vie, il restera marqué du particularisme de l’esprit cavalier, si fort à l’époque et qui perdure encore ; mais Weygand n’était pas un cavalier de concours, et restait avant tout militaire. La cavalerie constituait, dans son esprit, l’arme de la décision selon ses deux modes opératoires, renseigner et couvrir par le mouvement et combattre par le choc. Les unités de « Légère » étant dévolues aux deux premiers et celles de la « Lourde » au second. Weygand a d’ailleurs alternativement servi dans les deux subdivisions d’arme. Ce faisant, il était bien représentatif de son époque, pas uniquement en France d’ailleurs, mais dans toutes les armées européennes, où personne n’avait convenablement tiré les enseignements de la Guerre de Sécession, au cours de laquelle la puissance du feu devait, à moyen terme, condamner la présence et l’action de la cavalerie sur le champ de bataille, au moins dans son volet classique.

Il reste 83 % de l'article à lire

La tribune a bien été ajoutée au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder aux tribunes

Mai 2025
n° 880

Océans, des défis pour la France

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

05-05-2025

La DGA présente son bilan d’activités 2024

30-04-2025

Camerone – 1863

29-04-2025

La Marine nationale teste en pleine mer un drone offensif sur une cible réelle

29-04-2025

Lancement réussi du 4e Vega C – Succès de la mise en orbite de Biomass

28-04-2025

Signature du contrat Rafale Marine pour l’Inde

22-04-2025

Disparition d'Odile de Vasselot

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.