Directeur du programme sur la non-prolifération nucléaire à l’Institut de recherche sur la paix de Francfort-sur-le-Main.
1 résultat (1 article - 0 Tribune - 0 e-Recension)
C’est aujourd’hui un lieu commun de dire que le danger de prolifération a considérablement augmenté depuis la fin de la guerre froide : la capacité de contrôle que les « anciennes » superpuissances exerçaient sur leurs alliés du monde développé s’est réduite, tandis que s’est accrue, dans ces circonstances nouvelles de « vide du pouvoir », la volonté des États de développer des armes de destruction massive pour satisfaire leurs besoins de sécurité ou d’expansion. Je travaille sur les questions de prolifération depuis 1977 et je ne partage pas cette opinion. Certes, l’attention des médias, de l’autorité politique et de la communauté stratégique, s’est développée au profit de ces questions après la disparition du vieil ennemi, mais en ce qui concerne le sujet lui-même, pour l’ancien « spécialiste de la non-prolifération » que je suis, peu de choses ont changé. Lire la suite
1 résultat
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...