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  • Armée de l’Air et de l’Espace - Puissance militaire aérospatiale - Salon du Bourget 2025
  • La base aérienne et son réseau, véritable outil de combat agile, performant et interopérable

La base aérienne et son réseau, véritable outil de combat agile, performant et interopérable

Christophe Pagès, "La base aérienne et son réseau, véritable outil de combat agile, performant et interopérable " Armée de l’Air et de l’Espace - Puissance militaire aérospatiale - Salon du Bourget 2025

Les bases aériennes, outils de combat de l’armée de l’Air et de l’Espace, évoluent continuellement pour s’adapter à la conflictualité moderne. Leurs transformations consolident et fluidifient l’exercice du commandement, renforcent leur résilience et leur soutien, garantissent la continuité des opérations aériennes dans un environnement de plus en plus contesté et complexe, y compris par la dispersion des moyens qui y sont stationnés.

Air Bases: Agile, Efficient and Interoperable Combat Tools

Air bases, the combat tools of the Air and Space Force, develop continually to adapt to the needs of modern conflict. Their transformation consolidates and eases the exercise of command and boosts their resilience and support to guarantee the continuity of air operations in an ever-more contested and complex environment—if need be, by dispersal of the resources that are stationed in each.

« Nos bases aériennes (BA) sont de véritables outils de combat dont chaque maillon est essentiel. (1) » Elles sont le lieu où s’exercent en permanence l’excellence, les forces morales et l’esprit d’escadrille des aviateurs, ainsi que le lien avec la société civile. En cohérence avec la stratégie militaire générale du chef d’état-major des armées (Cema), elles n’ont de cesse de s’adapter pour réussir leurs missions. La nouvelle organisation qui se met en place, conformément à la vision stratégique du chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace (CEMAAE) (2), le double casquettage éprouvé « COMBA-COMBdD » (3) et l’esprit impulsé par l’instruction ministérielle relative au commandement local des armées, viennent consolider et fluidifier l’exercice du commandement de base.

Les BA, creuset de l’esprit pionnier, mettent en œuvre la puissance militaire aérospatiale

Dans sa vision stratégique (4), le CEMAAE exprime sa volonté de « capitaliser sur l’esprit pionnier, l’agilité et l’ouverture propres aux aviateurs […] pour une armée de l’Air et de l’Espace (AAE) qui s’entraîne et se bat avec un temps d’avance […] pour des combattants préparés aux missions d’aujourd’hui et de demain […] pour sécuriser notre ascendant opérationnel et technologique dans l’air et l’espace ». Stimulé par son environnement et héritier de l’esprit pionnier, l’aviateur a toujours cherché à exploiter les potentialités nouvelles pour agir vite, loin et durablement.

À partir de ses BA, l’AAE est « aujourd’hui capable d’apprécier la situation de façon autonome, […] de dissuader en permanence toute menace d’origine étatique contre nos intérêts vitaux, […] de défendre et sécuriser l’espace aérien national et ses approches, […] de porter secours aux populations et territoires frappés par un épisode catastrophique, […] d’intervenir et projeter les forces et la puissance en tout point du globe » (5).

En juillet 2025, notre première base aérienne à vocation spatiale (BAVS) verra le jour à Toulouse, à proximité de Montaudran lieu historique des pionniers de l’aéropostale. Elle accueillera, quelques mois plus tard, le commandement de l’Espace dans de nouveaux locaux. La BAVS portera le numéro 101, en hommage à la première BA « Toulouse-Francazal », créée en 1934 comme l’armée l’Air, et dissoute en 2009. L’AAE illustre ainsi sa capacité à opérer, depuis ses bases, dans le continuum Air-Espace.

J’ai servi sur la BA 101, j’étais présent le jour célébrant sa dissolution, et j’aurai la chance de voir la création de la BAVS 101. Contribuer aux missions de l’AAE tout en accompagnant sa transformation, est au cœur de l’engagement de chaque aviateur. Il est imprégné des jalons qui donnent du sens à cet engagement et renforcent l’identité ainsi que la cohésion. En 2020, le passage de l’armée de l’Air à l’armée de l’Air et de l’Espace représente un de ces jalons. Il en est un autre qui démontre, chaque année depuis 2021, notre capacité fulgurante de projection de puissance en tout point du globe, au départ de nos BA. Il s’agit de la mission Pégase (6) avec le triptyque Rafale - MRTT - A400M.

Les BA agissent, anticipent et s’adaptent continuellement, en cohérence avec leur environnement, qui a considérablement évolué ces dernières décennies

Je me souviens de mon arrivée, en 1991, sur la BA 105 d’Évreux. Jeune officier sortant de l’École de l’air, je choisis de rejoindre les services techniques de la 64e escadre de transport, dans un contexte particulier. Cela a lieu quelques mois après la première guerre du Golfe. Nous assistions en direct à la dissolution du Pacte de Varsovie, prélude à la dislocation de l’URSS quelques mois plus tard, à la guerre pour l’indépendance de la Croatie et à la poursuite des engagements en Afrique. Dans ce contexte, je découvre la contribution de la BA aux opérations ainsi que son histoire, dont l’héritage est souvent visible. La période de 1952 à 1967 pendant laquelle la BA d’Évreux était une BA de l’Otan accueillant des aviateurs américains est, en ce point, remarquable.

En 1991, cette BA met en œuvre les avions de transport C-160 Transall NG, C-160 Transall Astarte (7) et DC-8 SARIGuE (8). Deux centres de formation pour les appelés du contingent et pour les élèves officiers de réserve y sont également stationnés. Excepté le soutien pétrolier, les soutiens sur la BA font encore partie de l’armée de l’Air (AA). Sur trois décennies, ces appareils et ces unités ont laissé la place, sur la BA 105, aux escadrons de transport Casa CN235, à un escadron de transport aérien franco-allemand (Binational Air Transport Squadron – BATS) équipé de C-130J, à une escadre projetable pour accompagner nos déploiements en moyens numériques (9) et à l’accueil d’un plot de patrouille opérationnelle (PPS-Air). Elle verra l’arrivée prochaine de la nouvelle Capacité universelle de guerre électronique (CUGE) et des futurs Falcon 8X-ARCHANGE. Enfin, le lien de la BA d’Évreux avec la société civile s’illustre aujourd’hui notamment grâce à son Escadrille Air Jeunesse (EAJ) particulièrement dynamique.

Plus largement sur cette période, force est de constater que l’AAE et ses BA ont aussi dû s’adapter à des changements de paradigme externes. En 1996, le président de la République décide de professionnaliser les armées et de suspendre le service national. L’année suivante, la loi actant la « suspension » du service militaire est promulguée. À partir des années 2000, les directions et services de soutien s’interarmisent à des fins d’efficience, puis les bases de défense (BdD) sont créées. « La mutualisation des fonctions de soutiens communs et spécialisés au sein de circonscriptions géographiques densifiées, dénommées “bases de défense” constituait l’une des réformes emblématiques de la Loi de programmation militaire (LPM) 2009-2014. Conjuguée à la réforme des directions et services interarmées du soutien, elle devait apporter la principale contribution à la suppression prévue de 54 000 postes sur la période 2008-2015. (10) »

Dans le même temps, l’AA lance son plan « Air 2010 ». « Il s’agit de réduire le nombre de grands commandements organiques… de simplifier les structures et d’accroître son efficacité. [Dans ce cadre et celui également de la Révision générale des politiques publiques (RGPP)], le réseau des BA subit une forte cure d’amaigrissement, amputé d’une dizaine d’implantations. En contrepartie, cette restructuration s’accompagne du renforcement d’une douzaine de sites. (11) » À partir de 2008, les Escadrons de soutien technique aéronautique (ESTA) sont créés, en regroupant les équipes de mécaniciens, dans une logique de rationalisation. Les spécialités techniques et la formation évoluent également, accompagnant les évolutions technologiques. En 2013, le plan stratégique Unis pour faire face est lancé par le CEMAA, intégrant un projet « BA XXI » (12). Avec pour objectif de renforcer la performance opérationnelle de nos BA, « en 2015, l’instruction n° 1257 qui organisait la vie de la BA depuis un demi-siècle est abolie et remplacée par un nouveau texte [Instruction n° 21] ».

D’Altaïr à BA 24

L’environnement stratégique se durcissant, l’AAE décide, en 2022, d’adapter son organisation pour gagner en performance et en résilience. L’objectif est de disposer d’une organisation intégrant des processus et outils de combat agiles, efficients et lisibles pour mieux agir et interagir dans la durée, sur l’ensemble du spectre des missions. Pendant deux ans, l’AAE mène sa transformation Altaïr, concernant l’état-major et les grands commandements, afin de gagner encore en performance dans la préparation des forces et la conduite des missions. Plus précisément, il s’agit de faciliter et accélérer les prises de décision en visant cohérence, synergie et simplification. Cela se traduit notamment par la réduction du nombre de niveaux hiérarchiques, la clarification des échelons de responsabilité et une meilleure coordination technico-opérationnelle (13). La dimension territoriale constitue aussi un axe fort de cette transformation, avec la création du commandement territorial de l’armée de l’Air et de l’Espace (CTAAE) et le transfert de trois brigades de Bordeaux à Nancy, Orange et Orléans (14).

Dans le prolongement, l’AAE mène, d’octobre 2022 à juin 2023, une expérimentation inédite en vue d’adapter également la structure de commandement des bases. De façon innovante, il s’agit d’éprouver sur trois BA trois modèles différents. L’objectif est de faire émerger l’organisation la plus adaptée afin de faire face à l’évolution très rapide de la conflictualité et l’émergence de menaces directes, y compris sur le territoire national (TN). L’organisation doit faciliter le fonctionnement 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, être lisible et interopérable, notamment en situation de crise.

Le modèle BA 24 pour un commandement plus performant de l’outil de combat

Le nouveau modèle retenu consolide l’exercice du commandement tactique du COMBA vers les unités avant leur engagement sous un contrôleur opérationnel. Par ailleurs, il réaffirme le rôle de l’escadre comme échelon de cohérence et confirme l’importance de la qualité du lien avec les services de soutien interarmées.

Il transforme l’équipe de commandement autour du COMBA avec :

• le regroupement des fonctions et responsabilités concourant à la défense et sécurité sous l’autorité d’un « chef DEFSEC » ;

• la création d’un « chef ops BA », responsable des activités opérationnelles hors périmètre du commandant d’escadre ou du chef DEFSEC ;

• la création d’un « chef sous BA », chargé de l’interface avec les soutiens interarmées, du suivi des besoins de modernisation et d’infrastructure, des systèmes d’information et de communication ainsi que de la logistique ;

• un « chef BRH » chargé de la gestion administrative des personnels d’active et de réserve ;

• un « chef cab/pil » chargé notamment du cabinet du COMBA, de la communication, du management de l’information, des finances et du contrôle interne.

Ce nouveau modèle, plus cohérent – notamment dans le rattachement des unités –, lisible, interopérable – avec l’identification des cellules A1 à A9 rattachées à l’équipe de commandement –, et réactif – avec structure, processus et entraînement orientés vers l’opérationnel –, est mis en place en 2024 et 2025.

Les postes ainsi que les parcours doivent être attractifs et apporter une plus-value indéniable au COMBA dans son commandement. Il sera donc tenu compte du retour d’expérience, dans l’élaboration de l’instruction d’organisation.

Le double casquettage COMBA-COMBdD et la nouvelle IM 145 pour une même finalité

Si un lien COMBA-COMBdD, fluide et permanent, est essentiel pour le fonctionnement au quotidien de nos BA, il est primordial pour les bases plateformes. En effet, celles-ci sont le lieu où se prépare et agit la puissance militaire aérospatiale 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, dans le cadre des missions permanentes et de circonstance. La réactivité et la performance des soutiens, ainsi que la fluidité des interactions sont fondamentales, non seulement dans la conduite des actions programmées mais aussi dans la gestion des alertes et des aléas. Le double casquettage COMBA-COMBdD, qui a fait ses preuves, est pérennisé.

Par ailleurs, l’instruction 145 relative au commandement local des armées, signée en mars 2024 par le ministre des Armées, impulse un état d’esprit tourné vers la réussite collective de la mission dans une logique d’appui mutuel. Elle vise à renforcer l’efficacité du dialogue local, l’autonomie et la liberté d’action du militaire en situation de commandement. Enfin, l’AAE a renforcé et rendu plus fongible le budget mis à disposition des COMBA, pour gagner en réactivité avec des leviers de subsidiarité efficients et un cadre plus souple.

Vers la BA étendue

La résurgence du risque de confrontation de haute intensité conduit à interroger le stationnement et, ainsi, à envisager davantage d’agilité et de réactivité par la mobilité et la dispersion.

L’AAE a déjà démontré sa capacité à se déployer en mettant en œuvre des bases aériennes projetées (BAP). Ces déploiements et les modes de stationnement s’envisagent désormais avec une capacité de dispersion agile. Le concept opérationnel French ACE (15), déclinaison française du concept otanien, vise à « étendre » la BA en regroupant plusieurs points d’appui reconnus au sein d’un réseau. Ce réseau de BA étendues (Extended Air Base ou e-AB) est constitué de terrains d’aviation, sur le TN et en dehors, ainsi que de capacités logistiques et de réseaux d’information permettant, au gré des besoins, de conduire des opérations depuis plusieurs points de stationnement. Cela implique aussi directement les soutiens interarmées ainsi que nos partenaires et alliés. Il renforce notre capacité à agir ensemble grâce, notamment, à des procédures et moyens interopérables, à des mises en œuvre croisées (Air Craft Servicing – ACS) voire de maintenance. Avec ce concept et cette ouverture, l’AAE se met en mesure de « faire face » à tout type de crises et conflits, y compris dans la haute intensité. Elle contribue aussi à « gagner la guerre avant la guerre », selon les mots de Thierry Burkhard, chef d’état-major des Armées (16).

L’adaptation continue de l’organisation de son réseau de BA permet à l’AAE de délivrer la puissance militaire aérospatiale à temps et dans la durée. Ce réseau intègre des bases projetables et s’étend à des points d’appui en développement. Sa performance repose non seulement sur « l’esprit pionnier, l’agilité et l’ouverture propre aux Aviateurs » (17) mais aussi sur un commandement efficace et exemplaire. Cet « outil de combat » tire sa force de « l’esprit d’escadrille […] qui transcende les différences […] et permet à chaque aviateur de trouver sa place et d’exprimer son talent ». Commander et servir sur ces BA, fortes de leurs aviateurs, leurs capacités et leur organisation, est un engagement, un honneur et une fierté. Nos BA et nos aviateurs sont au rendez-vous aujourd’hui et se configurent pour l’être toujours demain.♦

 

(1) Ordre du jour n° 5 du 19 mars 2025 du chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace (CEMAAE) relatif à sa Vision stratégique « Le ciel pour champ de bataille – Puissance militaire aérospatiale ».
(2) Bellanger Jérôme, Vision stratégique du chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace – « Le ciel pour champ de bataille », 5 mars 2025 (https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/air/VisionStrategique_CEMAAE_2025.pdf).
(3) Commandant de base aérienne – commandant de base de défense.
(4) Bellanger Jérôme, op. cit.
(5) Ibidem
(6)Ministère des Armées (Minarm), « Mission PÉGASE » (https://www.defense.gouv.fr/operations/operations/mission-pegase).
(7) Avion station relais de transmissions exceptionnelles – utilisé dans le cadre de la dissuasion nucléaire.
(8)Système aéroporté de recueil d’information de guerre électronique.
(9) Escadre aérienne de commandement et de conduite projetable (EAC2P).
(10) Cour des comptes, Le bilan de la création des bases de défense (Observations définitives), 5 juin 2024, 68 pages (https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2024-06/20240605-S2024-0682-Bilan-creation-bases-de-defense.pdf).
(11) Lespinois (de) Jérôme (dir.), Nouvelle histoire de l’armée de l’Air et de l’Espace, Centre d’études stratégiques aérospatiales (Cesa), éditions Pierre de Taillac, 2022, 480 pages, p. 391.
(12) Interview du chef de projet « BA XXI » (https://www.youtube.com/watch?v=oHwYx_4v1fk).
(13) Au niveau brigades, avec l’intégration de la partie technique, ainsi qu’au niveau des escadrons chasse et transport, avec la mise en place de services techniques.
(14) Brigade aérienne de l’aviation de chasse (BAAC), la Brigade des forces spéciales air (BFSA) et la Brigade aérienne d’assaut et de projection (BAAP).
(15) French Agile Combat Employment – autrement appelé Morane pour Mise en œuvre réactive de l’arme aérienne.
(16) Burkhard Thierry, Vision stratégique du chef d’état-major des Armées – « Gagner la guerre avant la guerre », octobre 2021 (https://www.defense.gouv.fr/).
(17) Bellanger Jérôme, op. cit.

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