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  • Une certaine idée de la France et de sa défense – Pierre Messmer dans la RDN (1963-1995)
  • Le nouveau contexte géopolitique

Le nouveau contexte géopolitique

Pierre Messmer, "Le nouveau contexte géopolitique " Une certaine idée de la France et de sa défense – Pierre Messmer dans la RDN (1963-1995)

The new geopolitical context

Dans la dernière décennie du XXe siècle, l’éclatement de l’empire soviétique, la dislocation et l’effondrement de l’ex-URSS ont bouleversé la situation géopolitique tandis que les progrès scientifiques et techniques élargissaient les espaces de la stratégie. Je limiterai mon exposé à une problématique de cinq sujets que ce nouveau contexte a fait naître ou a transformés et suggérerai quelques réponses.

Des alliances

Le monde bipolaire né de la Deuxième Guerre mondiale est mort, sans guerre ni révolution, mais par l’usure et l’inefficacité d’une dictature collectiviste et hypercentralisée. Les États-Unis sont désormais la seule superpuissance. Dès lors que l’ennemi potentiel a provisoirement disparu, à quoi servent les alliances comme l’Alliance atlantique et, plus précisément, son organisation militaire, l’Otan ?

Une alliance est toujours formée entre États qui unissent leurs forces pour résister à une menace déterminée : dans le cas de l’Otan, cette menace venait de l’Union Soviétique et de ses satellites et elle était dirigée contre l’Europe occidentale protégée par les États-Unis. Quand la menace diminue, le ciment de l’alliance s’effrite, et si le danger disparaît, l’alliance n’a plus de raison d’être. « Rien ne peut faire qu’une alliance demeure telle quelle quand ont changé les conditions dans lesquelles on l’avait conclue », disait le général de Gaulle le 21 février 1966.

Le problème est évidemment posé pour l’Otan qui n’est pas faite pour résoudre des conflits intérieurs européens : la récente décision des Américains, prise sans aucune consultation préalable, de ne plus participer au contrôle de l’embargo sur les armes à destination des États issus de l’ancienne Yougoslavie est le signe de leur répugnance bien compréhensible à s’engager dans le guêpier balkanique. Elle démontre aussi que la sécurité européenne ne les concerne que dans la mesure où leurs propres intérêts sont en jeu. À cette menace sur l’Alliance que le secrétaire au Foreign Office jugeait « très inquiétante », la suggestion « d’ajustements nécessaires » faite par Willy Claes, secrétaire général de l’Otan, n’apporte qu’une réponse inappropriée et, à mon avis, illusoire, car l’Otan n’est pas réformable, et lorsqu’une alliance fragile, du fait des désaccords entre les alliés, devient « le bras armé » de l’Organisation mondiale qu’est l’Onu qui ne peut pas être unanime, l’inefficacité du système est garantie.

Pourquoi les Américains veulent-ils maintenir l’Otan sans rien y changer ? parce que c’est leur principal point d’ancrage en Europe. Économiquement, les États-Unis se heurtent à des concurrents de plus en plus dynamiques en Asie et dans l’Union européenne. Au lendemain de la guerre, la production américaine représentait 45 % de la production mondiale ; aujourd’hui, moitié moins. Si le dollar est toujours la principale, monnaie mondiale, il n’est ni la plus stable ni la plus forte. Politiquement, la force principale des États-Unis est leur armée, la première au monde incontestablement. Celle-ci n’est plus nécessaire à la sécurité de l’Europe, mais elle reste très utile pour assurer l’influence américaine sur l’Europe à condition de ne pas coûter trop cher : « We must find way to sustain our leadership at lower cost » (1).

Peut-on remplacer par une autre organisation l’Otan qui ne répond plus aux problèmes de sécurité de l’Europe aujourd’hui ? et la construction en cours de l’Union européenne est-elle complète sans alliance militaire entre ses membres, les uns restant sous l’ombrelle américaine, la France indépendante mais solidaire et plusieurs adhérents neutres, c’est-à-dire nulle part ? Nos gouvernements répondent en proposant l’activation de l’UEO qui deviendrait l’organisation militaire de l’Union européenne. Est-ce possible et comment ?

« Pôle européen de défense », « môle ouest-européen de sécurité », « pilier européen de l’Alliance », cette logomachie cache une question à laquelle la plupart des Européens et beaucoup de Français hésitent à répondre franchement : quels rapports voulons-nous avoir avec l’Amérique en ce qui concerne la défense ? Les Européens ont les moyens économiques, techniques d’assurer la sécurité en Europe ; le veulent-ils ? Si la France est prête à répondre clairement, qu’en est-il des autres pays ?

Des crises et conflits limités

On constate une multiplication des crises et des conflits limités, dits à tort de « basse intensité ».

Dans le contexte géopolitique ancien, l’opposition irréductible de deux camps ayant chacun un leader incontesté maintenait de part et d’autre cohésion politique et militaire. Bon gré, mal gré, chacun s’alignait et parmi ceux qui dans le Tiers Monde se disaient « non alignés », la prudence prévalait. L’antagonisme des superpuissances rendait le monde dangereux, mais l’équilibre était stable à cause de la dissuasion nucléaire. Aujourd’hui, le risque d’une guerre mondiale s’est éloigné, mais les conflits limités se multiplient : l’ex-Yougoslavie a éclaté et se déchire, les républiques ex-soviétiques du Caucase se font la guerre, l’Irak envahit le Koweït. Quant à l’Afrique au sud du Sahara, elle s’enfonce dans l’anarchie pour des raisons qui lui sont propres : la Somalie, le Liberia n’ont en commun que de n’avoir plus d’État, le Zaïre et le Rwanda, l’Angola et le Mozambique sont bien avancés sur la même voie. L’Afrique est faite de tribus parfois soumises à un grand empire ; l’État nation lui reste étranger.

La plupart du temps, ces crises n’ont aucun lien entre elles, ce qui explique le succès croissant, dans la pensée stratégique, de la théorie mathématique du chaos. Ces conflits limités dans leur extension géographique et dans leur intensité sont souvent à l’origine d’interventions extérieures, plus ou moins sollicitées par l’Onu au coup par coup et sans idée directrice car le « nouvel ordre mondial » annoncé par le président Bush pour justifier la guerre du Golfe n’existe pas : « Nous devons… ne faire usage de notre puissance que dans les situations qui menacent le plus profondément notre intérêt national » (2).

Peut-on prévoir ces crises, donc les prévenir ? Quand elles éclatent, comment les traiter ? Faut-il que l’Onu intervienne dans tous les cas, soit pour maintenir la paix, soit pour imposer l’aide humanitaire, devenant une sorte de gendarme universel et de pompier international ? Les organisations régionales doivent-elles prendre le relais, le peuvent-elles et le veulent-elles ? ou doit-on se résigner à laisser certains conflits — internes, en particulier — se régler par la force ?

Pour être concret, la France a-t-elle raison d’intervenir militairement dans la plupart des conflits africains, au sud du Sahara ? Je ne le crois pas et je déplore que nos gouvernements multiplient les interventions.

Du rôle croissant des médias

Géopolitique et stratégie n’ont cessé, depuis le début du siècle, d’élargir leur domaine longtemps limité aux terres émergées et à la surface des mers. La profondeur des océans, l’air puis l’espace sont entrés en géopolitique quand les sous-marins, les avions, les fusées et les satellites se sont multipliés. Dans cette ligne, il faut souligner l’importance croissante de la « noosphère » dans la stratégie.

Ce mot a été inventé par Teilhard de Chardin vers 1947 pour désigner « l’enveloppe de substance pensante » qui entoure le globe terrestre et qui est formée des millions de réseaux câblés ou radio-électriques par lesquels transitent souvent en temps réel des millions d’ordres et d’informations ouvertes ou secrètes chaque minute. Leur contrôle ou leur paralysie est devenu un enjeu majeur de toute stratégie. Les réseaux publics de télévision sont un bon exemple. En suscitant l’émotion populaire par ses images et ses commentaires, la télévision peut provoquer ou interrompre une opération militaire. Une crise n’est importante que si elle est médiatisée : Bosnie, Somalie, Rwanda. Sans médiatisation, la crise ne concerne que ceux qui y sont directement impliqués et quelques spécialistes : Tibet, Liberia, Sud-Soudan. Sous la pression de leur opinion publique influencée par les médias, il arrive que des gouvernements démocratiques se laissent entraîner dans des interventions « tous azimuts » peu raisonnables.

Pour les justifier, on a forgé la théorie du droit d’intervention humanitaire (auquel certains Français veulent ajouter le devoir) à partir des résolutions de l’Onu « sur le nouvel ordre humanitaire aux victimes des catastrophes naturelles » (n° 45/100 du 14 décembre 1990) et sur « l’assistance aux Kurdes d’Irak » (n° 688 du 5 avril 1991). Cette construction juridique ne fait pas l’unanimité, même chez ceux qui pourraient en être les bénéficiaires : un juriste africain, Djema Wembou, la dénonce comme « un droit au fondement incertain, au contenu imprécis et à géométrie variable ».

Il arrive que les mêmes médias qui ont poussé à une intervention en réclament l’arrêt dès que surviennent des pertes en vies humaines car la sensibilité occidentale ne les tolère pas. Les exemples du Liban et de la Somalie sont instructifs comme, en sens contraire, la guerre du Golfe bien acceptée car elle n’a causé que 200 morts pour 500 000 hommes en action. Peu importent pour les médias américains les 100 000 morts irakiens, puisque les téléspectateurs ne les ont pas vus. Le comble est atteint quand les médias font sentir leur influence sur la tactique : l’heure du débarquement à Mogadiscio des « marines » américains avait été choisie pour correspondre à une heure de grande écoute aux États-Unis.

Le problème posé par le fonctionnement des réseaux mondiaux intéresse directement l’indépendance nationale. Il est très difficile à résoudre, car les Américains contrôlent la plus grande partie de cette noosphère, l’alimentent de leurs productions et entendent en rester les maîtres. C’est par elle que la culture américaine se répand dans le monde entier. La télévision américaine, les films américains, sont beaucoup plus influents que les hommes d’affaires et les diplomates des États-Unis. Sur ce terrain, les Européens sont réduits à une timide défensive.

De l’adaptation de nos forces armées

Comment adapter les armées françaises au nouveau contexte géopolitique ?

L’arme nucléaire reste nécessaire. D’abord parce que le retour à une stratégie « classique » de dissuasion n’est pas à exclure : qui sait ce que sera, ce que fera la Russie dans dix ou vingt ans ? Ensuite parce que la dissémination des armes nucléaires, assez lente depuis trente ans, est, à terme, inévitable.

La France doit donc conserver son armement nucléaire en l’adaptant au nouveau contexte géopolitique, ce qui appelle une évolution quantitative, qualitative et intellectuelle. Quantitative, car il est possible de limiter le nombre des têtes nucléaires, des engins et des bases de lancement ; est-il indispensable de maintenir trois SNLE ensemble en patrouille à la mer ? Qualitative pour rester au meilleur niveau technologique en améliorant sans cesse les performances de nos systèmes d’armes, ce qui imposera de reprendre les tirs d’essais pendant deux ou trois campagnes. Intellectuelle, puisque notre stratégie de dissuasion du faible au fort ne suffit plus : il nous faut construire un concept de dissuasion acceptable par nos voisins européens (des tentatives ont déjà été faites en ce sens) et applicable, éventuellement, du fort au faible. L’indispensable arme nucléaire n’a pas fini de nous poser des problèmes, mais des problèmes nouveaux.

Le nouveau contexte géopolitique affecte nos forces classiques dans leur volume, leur organisation, leur posture. En simplifiant, peut-être exagérément, la question à laquelle il faut répondre est celle-ci : quelle priorité devons-nous accorder à ce qu’on appelle l’action rapide, c’est-à-dire les interventions extérieures qui se multiplient pour de bonnes ou de mauvaises raisons ? La réponse ne peut être que politique, mais elle doit être claire car ses conséquences sont lourdes pour les armées.

La gestion des crises — notion qui fut à la mode quoiqu’abstraite et incertaine —, l’engagement et la conduite des opérations extérieures réclament des informations précises, actuelles, sur les théâtres éventuels et exigent un réseau mondial de transmissions à partir de satellites militaires spécialisés qui coûtent fort cher. La mise à pied d’œuvre des forces d’intervention n’est possible qu’à partir de bases implantées à l’étranger toujours fragiles ou de transports aériens stratégiques que nous n’avons pas. Si ces conditions ne sont pas remplies, nos interventions sont subordonnées à la demande ou au consentement des Américains. Enfin, dans tous les cas, ces forces doivent être disponibles sur court préavis et composées exclusivement d’engagés puisque la loi ne permet pas l’envoi des appelés dans les théâtres d’opérations extérieurs en temps de paix.

Il en résulte que les forces d’intervention peuvent être engagées hors d’Europe, mais que les possibilités restent limitées. La preuve en a été faite lors de la guerre du Golfe : pour mettre sur pied une division légère blindée de 7 000 hommes, il a fallu prélever des personnels sur 52 régiments, c’est-à-dire désorganiser le tiers de l’armée de terre.

Pour ceux qui pensent comme moi que les intérêts vitaux de la France sont en Europe, cette méthode est inacceptable.

Ainsi se trouve posé, une fois de plus, le problème du service militaire, « vache sacrée » des politiques et des états-majors qui ne reculent pas devant les mauvais arguments pour le défendre. Il est exclu d’en traiter aujourd’hui, aussi me limiterai-je à ces constatations : l’impact du nouveau contexte géopolitique mondial sur le service national, déjà sensible, sera de plus en plus lourd ; il faut augmenter les effectifs professionnels et diminuer les effectifs d’appelés. En 1993, à peine plus de la moitié des recensés ont été appelés, bien que le service eût été réduit à dix mois. En pratique, le service militaire est loin des principes républicains sur lesquels il a été construit : universel, obligatoire, égal. De ce fait, tôt ou tard, il sera contesté et, ce jour-là, il sera indéfendable.

Vers un monde pluripolaire ?

Le nouveau contexte géopolitique, sans précédent dans l’histoire du monde, est-il durable ?

Les Américains sont satisfaits de cette situation. Ils souhaitent naturellement qu’elle se prolonge, mais ils ne veulent pas en assumer les charges, c’est-à-dire se transformer en gendarmes universels. L’expérience leur a appris qu’il y a des guerres courtes, peu coûteuses et victorieuses comme celle du Golfe, mais que d’autres sont longues, sanglantes et se terminent par un échec, comme le Vietnam. Ils n’engageront durablement leurs forces qu’au service de leurs intérêts nationaux ; le président des États-Unis l’a déjà dit et il l’a montré en plusieurs circonstances. Dès lors, à condition de ne pas toucher un intérêt américain important, et d’être assez fort ou assez résolu, « la liberté est au bout du fusil ». Les Serbes de Bosnie l’ont compris, d’autres aussi.

Je serais étonné que le nouveau contexte géopolitique mondial vécût aussi longtemps que le précédent, bipolaire, né au lendemain de la guerre, mort quarante ans plus tard. La question se pose alors : par quoi sera-t-il remplacé ? Dans la réponse, le risque est grand de glisser de la prévision à la politique-fiction. Cependant, il n’est pas absurde d’imaginer un monde pluripolaire : les États-Unis maintiendraient leur contrôle sur le continent américain tout entier, de l’Alaska à la Terre de Feu, et sur les régions qu’ils jugent essentielles pour leurs intérêts : Caraïbes, Proche-Orient, une grande partie du Pacifique ; l’Union européenne, si elle parvient à un minimum de cohésion politique, affirmerait son autorité sur l’Europe occidentale et centrale et sur la Méditerranée ; la Russie reconstituerait avec les restes de la défunte Union Soviétique un pôle s’étendant de l’océan glacial Arctique à la mer Noire et de la Baltique à l’océan Pacifique ; l’Extrême-Orient où deux géants, Chine et Japon, l’un continental, l’autre maritime, seront en compétition et pousseront vers l’Asie du Sud-Est.

Entre ces pôles dont les rapports pourront être tendus mais resteront pacifiques car la dissuasion nucléaire continuera de jouer, existeront des régions parfois importantes comme le sous-continent Indien, souvent instables et misérables comme l’Afrique subsaharienne, tantôt divisées et cherchant alors des alliances extérieures, tantôt rassemblées et agressives.

Si ces prévisions doivent se réaliser, le début du XXIe siècle ne sera pas désolé par des guerres mondiales comme celles qui ont ensanglanté l’hémisphère Nord pendant la première moitié du XXe siècle, mais par des conflits limités en intensité et dans l’espace, difficiles à prévenir et à régler. Dans le nouveau contexte géopolitique, diplomates et militaires ne risquent pas d’être au chômage. ♦


(1) Les Aspin, octobre 1993.
(2) Warren Christopher, 27 mai 1993.

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