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  • Revue n° 403 Octobre 1980
  • Cinéma - Souvenirs et science-fiction

Cinéma - Souvenirs et science-fiction

Charles Ford, « Cinéma - Souvenirs et science-fiction  » Revue n° 403 Octobre 1980 - p. 184-185

Venant après Apocalypse Now et Voyage au bout de l’enfer, le film de Samuel Fuller The Great Red One (Au-delà de la gloire) ne pouvait évidemment ni surprendre, ni provoquer d’aussi importants mouvements d’opinion. Le cinéaste américain, qui s’est toujours distingué par l’originalité de ses conceptions humanistes et artistiques, a porté à l’écran le livre de souvenirs qu’il avait écrit sur ses pérégrinations de combattant pendant la Seconde Guerre mondiale. Tous les faits présentés dans le film sont donc rigoureusement authentiques et nous ne les mettrons pas en doute. Reste que la réalisation proprement dite de Samuel Fuller a déçu de nombreux spectateurs, habitués à un réalisme cinématographique plus rigoureux.

L’excellent Lee Marvin, qui se trouve ici à la tête des cinq soldats, héros collectifs de l’aventure, est remarquable de sobriété et de puissance concentrée : malheureusement il ne peut pas faire oublier les défauts de la mise en scène. Tout au long d’un périple semé d’embûches, et même dans la boue et sous les bombardements les plus intenses, les combattants sont rasés de frais comme s’ils avaient à leur disposition permanente leur rasoir électrique… Il s’agit là d’une invraisemblance qui n’échappe à aucun spectateur et l’on ne comprend pas que Samuel Fuller n’y ait pas pensé. Quoi qu’il en soit, Au-delà de la gloire doit se contenter de la mention « honorable ». Et c’est dommage.

Un autre film, français celui-là et qui nous touche donc de beaucoup plus près, est également inspiré par un souvenir personnel, et il suscite une certaine perplexité. Il s’agit de Charlie Bravo, œuvre de Claude Bernard-Aubert qui avait déjà abordé le délicat problème de la guerre d’Indochine voici une quinzaine d’années avec Patrouille de choc, qui avait reçu un accueil chaleureux en raison de son caractère à la fois véridique et pathétique. On peut se demander quel a été le cheminement de la pensée du cinéaste qui, de Patrouille de choc, film patriotique mettant en relief l’héroïsme des soldats français face à un ennemi perfide et sans scrupule, à Charlie Bravo, dont le propos est bien différent et où les mêmes soldats français sont accusés de crimes abominables. Notre perplexité est d’autant plus grande qu’elle est renforcée par une contradiction fondamentale dans la présentation du sujet. Dès les premières images du générique, Claude Bernard-Aubert place en exergue une déclaration qui est également reproduite dans les dossiers de presse. La voici : « Ce récit est véridique et exact en tous points. J’ai voulu en témoigner, car le sang sèche vite en entrant dans l’Histoire et, le jour du massacre du village de Quinh Quang, dans le nord du Vietnam, j’y étais, et ce jour-là j’ai eu vingt ans ».

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