Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 426 Novembre 1982
  • Afrique - Afrique du Sud : nouveau projet de réforme constitutionnelle - La banqueroute du Tiers-Monde menace l'Occident

Afrique - Afrique du Sud : nouveau projet de réforme constitutionnelle - La banqueroute du Tiers-Monde menace l'Occident

Bernard Guillerez, Bernard Brionne, « Afrique - Afrique du Sud : nouveau projet de réforme constitutionnelle - La banqueroute du Tiers-Monde menace l'Occident  » Revue n° 426 Novembre 1982 - p. 176-183

Les difficultés que rencontre l’Organisation de l’unité africaine (OUA), l’appui discret mais conditionnel apporté par la diplomatie américaine à certains aspects de la politique de Pretoria qui permettraient peut-être de la faire sortir, de l’impasse, en Namibie notamment, ces circonstances favorables paraissent être mises à profit par le Premier ministre sud-africain pour lancer un projet de réformes constitutionnelles qui, malgré sa timidité, ne semble pas encore apprécié par la majorité de la communauté blanche et reste l’objet des discussions du gouvernement avec les métis et les Indiens. Ces différents plans de la vie africaine méritent d’être examinés successivement. Pour bien faire, il aurait fallu aussi analyser les raisons pour lesquelles, au Mozambique, au Zimbabwe et en Angola, les autorités font face à des tensions liées sans doute à une certaine accentuation des activités terroristes sur le territoire même de la République sud-africaine. Nous le ferons dans une chronique ultérieure.

La crise de l’OUA ne date pas de 1982. La partition de l’ancien Sahara espagnol entre le Maroc et la Mauritanie, le royaume chérifien tirant tout le bénéfice de l’opération, en provoquant les activités subversives du Front POLISARIO soutenu par l’Algérie à laquelle s’associa bientôt la Libye avait déjà élargi les failles que connaissait l’Organisation depuis sa création, failles qui avaient causé quelques difficultés lors des discussions provoquées par l’installation d’un pouvoir indépendant en Angola. La position marocaine sur le Sahara avait été combattue par une partie de la fraction « progressiste » de l’Organisation et n’a été défendue que par quelques États, les gouvernements, pour la plupart, conservant une prudente neutralité. L’affaire sahraouie fut renvoyée de commissions en comités de conciliation, des consultations dont il ne sortit rien de concret, sinon une augmentation des activités militaires à chaque nouvelle réunion de ces instances. Si le premier malaise, dû au Sahara occidental, fut occasionné par l’action d’un État « modéré », le second fut causé par une sorte de conspiration de certains pays « progressistes ».

En février 1982, ceux-ci obtinrent la signature de 26 gouvernements pour demander l’admission de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) au Conseil ordinaire des ministres des Affaires étrangères de l’OUA. La décision que dut alors prendre M. Kodjo, secrétaire général de l’Organisation, fut considérée comme une véritable provocation par le roi du Maroc ; de leur côté, plusieurs pays, estimant que l’initiative de l’opération revenait à la Libye parce qu’ils éprouvaient une réelle inquiétude devant l’agressivité désordonnée du colonel Kadhafi, s’associèrent à la protestation marocaine moins par hostilité à l’égard de la RASD que pour sanctionner le comportement général du président libyen. Celui-ci était depuis longtemps accusé de protéger les menées subversives de Guinée Bissau, de Gambie, du Sénégal, de Mauritanie, en Ouganda et au Tchad. L’Égypte et le Soudan étaient depuis longtemps ses adversaires déclarés. La session au sommet de l’OUA devant se réunir à Tripoli, et le chef de l’État invitant devant être élu, selon la tradition, président en exercice pour la durée des 12 mois succédant à la réunion, l’occasion de sanctionner une politique à la fois déstabilisante et équivoque était trop belle, et l’on s’y prépara en s’opposant à l’admission de la RASD à l’OUA, au nom des règlements en vigueur.

Il reste 86 % de l'article à lire

 

Plan de l'article

Afrique du Sud : nouveau projet de réforme constitutionnelle

La banqueroute du Tiers-Monde menace l’Occident

 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Juin 2025
n° 881

L’avenir des alliances militaires

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

04-07-2025

Le ministère des Armées totalise 4 milliards d’euros de nouvelles commandes

26-06-2025

Retour sur le sommet de l’Otan 2025

18-06-2025

Lettre d’intention entre la France et l’Espagne pour assurer la production d’A400M Atlas jusqu’à fin 2028

10-06-2025

Salon du Bourget 2025 : l’Onera développe ses projets d’innovation phares

04-06-2025

Une 4e FDI pour la Grèce

01-06-2025

Polaris 25 : une préparation grandeur nature à la guerre de haute intensité

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.