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  • Revue n° 568 Octobre 1995
  • Actions internationales - L'échec de l'ONU en Krajina (Croatie)

Actions internationales - L'échec de l'ONU en Krajina (Croatie)

François Chauvancy, « Actions internationales - L'échec de l'ONU en Krajina (Croatie)  » Revue n° 568 Octobre 1995 - p. 143-147

En avril 1992, la première intervention de l’ONU dans les Balkans avait lieu en Croatie. Celle-ci n’avait pas les moyens de prendre seule le contrôle de la Krajina sécessionniste et s’en remettait à l’ONU qui déployait 14 000 hommes. En août 1995, une armée croate réorganisée rétablissait la souveraineté nationale sur la presque totalité du territoire. Cette reconquête montrait les limites d’une politique pratiquée par l’ONU qui se résumait à des négociations sans fin et au refus d’employer tout moyen de contrainte. Pour déterminer un nouveau rapport de forces dans des discussions qui n’aboutissaient pas, la solution militaire devenait à nouveau la « continuation de la politique par un autre moyen ».

L’engagement de l’ONU en Croatie

À la mi-1991, les efforts de la communauté européenne pour trouver une solution pacifique à la sécession des Serbes vivant en Krajina croate ont échoué. L’ONU est sollicitée. Le Conseil de sécurité vote la résolution 713 du 25 septembre 1991 qui décrète un embargo sur les armes à destination du territoire de l’ex-Yougoslavie. Le 23 novembre 1991, Cyrus Vance, envoyé spécial du secrétaire général, organise une conférence avec les présidents croate, serbe, le ministre de la Défense yougoslave et Lord Carrington, président en exercice de la conférence européenne sur la Yougoslavie. Toutes les parties acceptent un cessez-le-feu immédiat le 23 novembre 1991 et expriment leur désir de voir le déploiement d’une opération de maintien de la paix. Cependant, le secrétaire général de l’ONU, Perez de Cuellar, et Cyrus Vance admettent dès cette époque que les conditions pour l’envoi d’une opération de maintien de la paix (OMP) ne sont pas totalement réunies. Notamment, s’est révélée une forte opposition des Serbes de Krajina à ce projet. En janvier 1992, une mission militaire exploratoire est envoyée par le nouveau secrétaire général de l’ONU, Boutros Boutros-Ghali, qui propose la mise en place de la Forpronu (1) (résolution 743). La durée du mandat est fixée à douze mois.

La résolution 749 du 7 avril 1992 autorise le déploiement de la force à laquelle participent un bataillon français d’infanterie composé de marsouins professionnels du 2e Régiment d’infanterie de Marine (Rima) dans le secteur Sud (région de Medak, Maslenica, Zemunik, Gracac) et un bataillon logistique composé en grande partie d’appelés, à Zagreb et à Belgrade. Les missions des bataillons français sont indissociables de la mission générale donnée à la Forpronu : aider la conférence sur la Yougoslavie, placée sous l’égide de la CEE, à parvenir à un règlement pacifique de la crise yougoslave. Cela signifiait le contrôle du cessez-le-feu, la vérification du retrait de l’armée yougoslave et du désarmement des forces paramilitaires, l’aide au retour des réfugiés, la garantie de leur sécurité, au besoin par l’interposition.

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L’engagement de l’ONU en Croatie

La reconquête croate

 
 

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