Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 725 Décembre 2009
  • Partenariat atlantique : une évolution mesurée

Partenariat atlantique : une évolution mesurée

Rodolphe Modeste, « Partenariat atlantique : une évolution mesurée  » Revue n° 725 Décembre 2009 - p. 28-38

L’arrivée de Barack Obama à la présidence américaine avait laissé entrevoir un renforcement du partenariat atlantique. Les leçons tirées des premiers mois de sa mandature sont pourtant contrastées. Les relatives convergences sur les dossiers du bouclier antimissiles sont circonstancielles et dépendantes de la Russie. En revanche, les questions du partage des responsabilités décisionnelles et du burden-sharing en Afghanistan n’ont pas évolué. Ces inerties rappellent que le thème de l’intégration (dans la décision et l’exécution des plans militaires) reste la principale divergence entre Alliés.

Une des caractéristiques du style Obama, en rupture avec l’héritage néoconservateur de l’ère Bush, est son approche multilatérale des dossiers internationaux. Partisan de l’école réaliste, il a également élargi son système d’alliance en l’orientant sur de nouveaux partenariats, sans faire de la nature du régime une condition de dialogue. La place de l’Alliance atlantique dans le jeu stratégique est aujourd’hui imprégnée de cette nouvelle donne. Elle est conditionnée aux exigences des nouveaux partenaires américains (notamment la Russie) et aux nouvelles priorités de l’Administration (règlement du conflit afghan, lutte contre la prolifération nucléaire). Les réflexions et décisions adoptées sur le fonctionnement de l’Otan depuis début 2009 (niveau d’extension à l’Est, bouclier antimissiles, définition de la stratégie en Afghanistan, question du partage de responsabilités) ont soit confirmé la persistance de divergences profondes entre Européens et Américains (insuffisance de l’effort de guerre européen en Afghanistan, réticence du partage de responsabilité des Américains), soit impulsé une avancée sur certains dossiers après le réchauffement du partenariat américano-russe (abandon du bouclier antimissiles en Europe, extension de l’Otan). Les tendances observées dans les premiers mois de l’Administration Obama dessinent donc un partenariat atlantique plus ouvert, mais comme résultat d’une évolution de facteurs exogènes à l’Alliance.

Les inerties

Structures de commandement

Le partage de responsabilités au sein des structures de commandement de l’Otan est un thème conflictuel récurrent au sein de l’Alliance. Il est, entre autres, à l’origine des initiatives européennes de défense autonome et des réticences à intensifier l’effort de guerre (pourquoi envoyer plus de troupes alors que le C2 otanien reste exclusivement américain ?).

Les premiers mois de l’Administration Obama n’ont pas changé cette donne. Premièrement, le retour de la France dans le commandement intégré de l’Otan n’a pas signifié pour autant un nouveau partage de responsabilité dans la gestion des conflits. La France a certes obtenu le Commandement suprême allié de la transformation à Norfolk aux États-Unis, mais cet apport reste relativement modeste d’un point de vue stratégique, pour des raisons à la fois géographiques (éloignement des instances de responsabilités en Europe) et fonctionnelles (fonction avant tout théorique du commandement, élaboration de concepts et d’objectifs pour le futur). Deuxièmement, le renouvellement des postes dans les structures de commandement ne fut pas l’occasion d’un partage des responsabilités. L’arrivée d’un Américain (James Stavridis) comme Saceur (en remplacement de John Craddock) permet toujours aux États-Unis de maintenir un contrôle intégral de la définition et du contrôle des opérations militaires de l’Alliance. Les États-Unis ont également toujours le monopole dans l’exécution des tâches en Afghanistan (principal lieu d’engagement de l’Otan). Le remplacement du général David MacKiernan par Stanley MacChrystal le 2 juillet à la tête de la Force internationale d’assistance à la sécurité (Fias) tient plus de la volonté américaine d’installer un spécialiste du counter-insurgency (COIN) que de réduire la faible représentation européenne dans la prise de décision opérationnelle.

Il reste 86 % de l'article à lire

 

Plan de l'article

Les inerties

Structures de commandement

Divergences opérationnelles : le cas afghan

Stratégie globale

Envoi de troupes et règles d’engagements

Effort de guerre européen

Les avancées

L’élargissement de l’Otan

Le bouclier antimissiles en Europe

Posture nucléaire américaine

Conclusion

 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Mai 2025
n° 880

Océans, des défis pour la France

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

14-05-2025

Observations de la Cour des comptes sur l’organisation budgétaire de la mission « Défense »

05-05-2025

La DGA présente son bilan d’activités 2024

30-04-2025

Camerone – 1863

29-04-2025

La Marine nationale teste en pleine mer un drone offensif sur une cible réelle

29-04-2025

Lancement réussi du 4e Vega C – Succès de la mise en orbite de Biomass

28-04-2025

Signature du contrat Rafale Marine pour l’Inde

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.