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Chine/États-Unis, confrontation inévitable ? (T 1731)

Eugène Berg, « Chine/États-Unis, confrontation inévitable ? (T 1731)  », RDN, 25 juillet 2025 - 6 pages

Dans son traditionnel Parmi les livres, l'ambassadeur Eugène Berg revient sur la rivalité sino-américaine, à l'heure où Donald Trump est de retour à la Maison Blanche. Alors que le président des États-Unis a accru les tarifs douaniers sur les importations chinoises, la stratégie de Xi Jinping vise à renforcer la puissance de son pays sur les plans économique et militaire, tout en cherchant à dominer dans le domaine technologique. Des experts tels que Kevin Rudd et Claude Meyer analysent ces dynamiques complexes, mettant en lumière les ambitions mondiales de la Chine et les réponses envisageables de l'Occident.

China/USA, inevitable confrontation?

Ambassador Eugene Berg revisits the Sino-American rivalry as Donald Trump returns to the White House. While the US president has increased tariffs on Chinese imports, Xi Jinping's strategy aims to strengthen his country's economic and military power while also seeking technological dominance. Experts such as Kevin Rudd and Claude Meyer analyze these complex dynamics, highlighting China's global ambitions and possible Western responses.

On ne savait pas encore, en ces premiers mois après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, quels contours revêtirait sa politique vis-à-vis de la Chine. Pour le moment, il n’a fait qu’augmenter les droits de douane pour ses exportations de 20 % (1), tout en ménageant Xi Jinping, qu’il escompte rencontrer à Moscou le 9 mai, au cas où la paix serait instaurée en Ukraine. Cet arrêt de la guerre lui octroierait, espère-t-il, l’occasion d’essayer de détacher la Russie de la Chine et de convoiter les terres rares et les matériaux critiques de la première, en un deal dont il détiendrait le secret. Une telle perspective permettrait à ses yeux de se tourner vers la Chine en un duel planétaire aux dimensions globales. Cependant, abandonner aussi rapidement l’Ukraine à son sort n’annonce-t-il pas à terme un possible lâchage de Taiwan ?

La Chine à la recherche de la suprématie mondiale

Fig1Même si ces fulgurantes évolutions n’ont pu être prises en compte tant dans le solide ouvrage de Kevin Rudd, Chine, États-Unis, cette guerre qu’on peut encore éviter, que dans celui, incisif, de Claude Meyer, La Chine de Xi Jiping. Menace pour la paix et l’ordre mondial. Leurs analyses et arguments sont des outils fort utiles à notre réflexion.

Kevin Rudd, parlant le mandarin, aimant bien la Chine et ses principaux dirigeants, il a été Premier ministre d’Australie, puis ministre des Affaires étrangères avant de redevenir Premier ministre en 2013, peu après l’arrivée de Xi Jinping au pouvoir. Il a été ensuite président-directeur général de l’Asia Society (2) et président de l’Asia Society Policy Institute de Washington, avant de devenir ambassadeur d’Australie à Washington en mars 2023. En fin connaisseur et admirateur des deux pays où il a séjourné, il n’a pas de gêne à démystifier les préjugés, les mythes et les postures que les deux géants adoptent. Néanmoins, il ne s’agit pas seulement d’attitude car il est persuadé, ce qu’il montre dans son livre solidement étayé, qu’un affrontement entre eux est tout à fait possible. Il est envisageable car toutes les politiques menées par Xi Jinping semblent y conduire.

Ancien banquier international, enseignant à Sciences Po et conseiller au centre Asie de l’IFRI, Claude Meyer reste largement en harmonie avec les thèses du Premier ministre australien tout en mettant plus nettement l’accent sur la logique expansionniste de domination planétaire, et en se préoccupant, on le verra, de la place de l’Europe face au choc des titans.

Fig2Pour Kevin Rudd, comme pour Claude Meyer, dans un ordre un peu différent, la politique chinoise se développe en plusieurs cercles allant du cœur d’un chrysanthème à ses feuilles extérieures qu’il convient de bien avoir à l’esprit. La priorité de Xi Jinping est bien de se maintenir au pouvoir et de réaliser le « rêve chinois », ce qui suppose la pérennisation du Parti communiste au pouvoir. Le deuxième cercle est de garantir l’unité nationale, ce qui implique le retour de Taiwan dans le giron chinois, ce par « tous les moyens ». Le troisième est d’assurer la prospérité économique, et grâce à elle la stabilité politique qui s’ensuit. Ce qui s’est traduit par une économie socialiste-populiste, laquelle est allée, un moment, à l’encontre de vœux des BATX, les GAFAM chinois (3). Cela suppose un découplage économique d’avec les États-Unis sur tous les plans, d’abord monétaire, technologique, puis commercial. Le quatrième cercle consiste à concilier essor économique et environnement durable. Il prend tout son sens avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche qui s’est affranchie d’emblée de toute règle climatique ou environnementale. Or la Chine, qui détient 60 % du marché des véhicules électriques, 50 % de celui des panneaux photovoltaïques, et qui se profile comme un des leaders mondiaux du nucléaire, entend bien devenir dans ce domaine une vitrine et un modèle, élément évident de son Soft Power.

Le cinquième cercle est celui de la modernisation de l’Armée populaire de libération (APL) qui est allée tambour battant, en donnant la priorité à la puissance maritime. On sait que la Chine bénéficie d’un plus grand nombre de navires que la flotte américaine qui a diminué de moitié depuis 1990 (passant de 570 en 1990 à 295 aujourd’hui (4)), mais dépasse encore sa rivale en (environ 4 500 000 tonnes pour l’US Navy contre un peu moins de 2 000 000 pour la Marine chinoise (5)). Cependant, la Chine vient de se doter d’un troisième porte-avions : le premier à catapultes électromagnétiques et quatre autres pourraient suivre d’ici 2035. Ajoutons que dans le domaine de la construction navale civile, la Chine dispose d’une écrasante maîtrise, totalisant plus de 50 % des capacités mondiales, contre 0,1 % pour les États-Unis, qui doivent recourir aux chantiers navals sud-coréens (28 % des capacités mondiales) et japonais (15 %) (6). Quant aux missiles balistiques, il est bien connu que leur chiffre n’a cessé de croître en passant, de 350 il y a encore trois ans, à 600, avec l’objectif d’atteindre les 1 500 en 2035. On compare trop souvent les budgets militaires des deux pays, en dollars nominaux, et on ne prend pas en compte toutes les contributions liées au secteur de la défense, comme celles consacrées à la Recherche & développement (R&D), avance Claude Meyer. On n’y inclut pas, par exemple, les dépenses des garde-côtes chinois, la police maritime la plus importante du monde, placée sous le commandement de la Commission militaire spéciale, forte de 800 patrouilleurs, dont 135 de fort tonnage (1 000 tonnes). Tous ces éléments portent le budget global de la Défense de la Chine à 711 milliards de dollars, bien loin des 296 Mds du budget officiel de 2023. Nos deux auteurs n’oublient pas pour autant de mentionner les faiblesses chinoises (manque d’expérience, faible capacité de projection, corruption, etc.).

Sixième cercle, celui de l’« étranger proche » : Russie, Japon, Inde, péninsule coréenne, Asie du Sud-Est. En ce domaine, les effets de la politique tarifaire, comme l’issue de la guerre en Ukraine, seront examinés avec attention. Le septième cercle, sécuriser la périphérie maritime de la Chine, à savoir le Pacifique occidental et l’Indo-Pacifique. Les volontés chinoises aux îles Salomon, en mer de Chine méridionale et ailleurs sont visibles et croissantes, ce qui conduit Kevin Rudd à préconiser un Quad 2.0 (7). Ce dernier influerait la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande, dont le nouveau gouvernement conservateur de Christopher Luxon a durci son attitude vis-à-vis de la Chine, et le Vietnam, qui balance en la matière. Huitième cercle, celui des Routes de la Soie, ou Belt and Road Initiative (BRI). La Chine, sans s’en retirer pour rien au monde, en perçoit les limites et le coût, et doit tenir compte des concurrences mises en place (Global Gateway (8), IMEC (9)) et le retrait de l’Italie et bientôt du Panama, en attendant peut-être d’autres exemples sous pression américaine. Neuvième cercle, celui de l’Afrique (la Chine en est le premier créditeur), l’Amérique latine (dont elle est le premier partenaire commercial) et l’Europe.

Le dixième cercle, pour Kevin Rudd, est celui de la volonté chinoise de changer l’ordre mondial et les règles ou les normes sur lesquelles il repose, ce qui est différent. Le premier se réfère au concept anglo-saxon de Rules Based Order (RBO), ce qui implique une réforme du Conseil de sécurité, ou des procédures de votes au sein du Fonds monétaire international (FMI), le second renvoyant aux normes techniques établies par l’Organisation internationale de standardisation (ISO) où l’activité chinoise se déploie. Elle a dépassé les États-Unis en 2017 pour le nombre d’articles scientifiques, et elle est devenue la même année le premier déposant de brevets dans le monde. Elle ne dépasse cependant pas le nombre de brevets déposés à la fois aux États-Unis, au Japon et dans l’UE.

L’affrontement États-Unis–Chine : quels scénarios ?

Kevin Rudd présente neuf scénarios allant du plus pessimiste, à savoir un « Munich » américain – reposant sur une réaction militaire des États-Unis quasi symbolique et une abstention de leurs alliés – au plus optimiste – à savoir l’échec et l’humiliation de Xi Jinping, qui échoue dans ses ambitions nationales, régionales et mondiales.

Bien des scénarios sont analysés. Un second « Midway », où les États-Unis écrase l’action militaire chinoise contre Taiwan ; ou à l’inverse un « Waterloo » américain : la Chine défait les forces américaines intervenues au secours de Taiwan. D’autres possibilités sont envisageables, comme le scénario à la coréenne, un match nul entre les deux puissances, un nouveau « golfe du Tonkin », guerre limitée en mer de Chine méridionale ou encore un conflit avec le Japon et les États-Unis autour des revendications chinoises en mer de Chine orientale ou encore un conflit entre la Chine et les États-Unis sur la Corée du Nord. Enfin, plan optimal de Xi Jinping, une réussite de la stratégie chinoise sans confrontation avec l’Amérique.

Écrit en 2022, ce scénario revêt aujourd’hui un degré de probabilité plus fort encore. En effet, si le plus important fabricant de microprocesseurs mondial, la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC), qui détient 60 % du marché mondial, venait à délocaliser une partie de sa production aux États-Unis, comme elle a commencé à le faire et qu’elle céderait son savoir-faire à Intel – comme vient de le demander Donald Trump (10) – alors les responsables taïwanais arriveraient à la conclusion que les États-Unis ne les défendraient pas. En conséquence, certains responsables taïwanais conduiraient des négociations secrètes avec Beijing, pour former une confédération chinoise, face à une Chine préparée à faire un geste décisif pour prendre l’île avant 2035. La réussite d’un tel scénario procéderait d’abord du succès ou de l’échec de l’adaptation du modèle économique chinois, puis de la capacité de la Chine de combler son fossé technologique avec les États-Unis. En 2022, les dépenses chinoises de R&D s’établissaient à 2,40 % du PIB (juste au-dessus de la moyenne de l’UE) contre 3,40 % pour les États-Unis dont les dépenses globales en ce domaine s’élevaient à 680 Mds $ contre 450 Mds pour la Chine, qui restait encore dépendante à hauteur de 50 à 55 % des technologies étrangères. Enfin, de la capacité de ceux-ci à reconstruire leur puissance intérieure et mobiliser leurs énergies collectives pour répondre au défi chinois. Cependant, ni Kevin Rudd, ni Claude Meyer n’ont envisagé à un moment un Yalta 2.0, qui permettrait aux trois grands prédateurs de se répartir les territoires convoités en formant une « Triplice », pour la satisfaction des objectifs primordiaux de chacun des partenaires : à toi le Groenland et le Panama, voire le Canada ; à moi, l’Ukraine, les pays baltes, le contrôle de la Hongrie et de quelques autres ; à eux Taiwan et la mer de Chine méridionale (11).

L’Europe, une puissance d’équilibre

À la fin de son livre, Claude Meyer voudrait croire que l’Europe peut tout à la fois soutenir ses valeurs, prendre la défense des droits de l’homme en Chine, se réindustrialiser et se réarmer massivement et vite, tout en poursuivant sa transition énergétique en conservant son Green Deal (12). Bien ambitieux programme lorsqu’il nous rappelle lui-même que la Chine représente 31 % de l’industrie mondiale contre 17 % pour l’UE, dont 6 % pour l’Allemagne et seulement 2 % pour la France. Certes l’Europe ne manque pas d’atouts, elle détient 40 % des brevets mondiaux de technologies d’énergies renouvelables, mais l’appui communautaire pour les technologies de pointe (microprocesseurs, numérique, quantique, intelligence artificielle) se compte pour le moment en dizaines de milliards d’euros à comparer aux 1 400 Mds de dollars qu’avait dégagé Beijing entre 2020 et 2025.

Conclusion

Fig3On ne sait pas encore qui sortira vainqueur du Choc des empires du XXIe siècle qui se déroule sous nos yeux. Kevin Rudd estime qu’un désastre géopolitique peut encore être évité si les deux géants trouvent le moyen de coexister sans trahir leurs intérêts fondamentaux, en instaurant entre eux un code de conduite qu’il nomme la compétition stratégique aménagée autorisant le développement de l’affrontement des idées et des systèmes sans aller jusqu’au conflit. Cela ressemble à la période de la coexistence pacifique, instaurée à la mort de Staline en 1953, avant que n’advienne la période de détente qui a succédé à la crise des missiles de Cuba de l’automne 1962. On est loin du triptyque gaullien de « détente, entente et coopération ». Washington et Beijing emprunteront-ils à leur tour cette voie ? En tout cas, on semble loin du principe chinois du Tianxia, vieux de trois mille ans, selon lequel l’influence de l’Empire doit reposer sur le rayonnement culturel et commercial, viser à un ordre international harmonieux excluant les agressions militaires. Même si, comme le pense le politologue Thomas Guénolé, cet idéal ancestral de triompher sans violence (qui est celui de Sun Tzu) est redevenu la boussole de la stratégie de puissance chinoise pour le XXIe siècle. En réalité, on est plus près du Si vis pacem, para bellum. Quant à la Pax Americana, on ne sait pas encore comment elle évoluera. Le ministre de la Défense de Singapour, Ng Eng Hen, a exprimé un point de vue largement partagé en Asie en déclarant que « l’Amérique se muait d’une force “basée sur une légitimité morale” en un propriétaire terrien réclamant ses loyers » (13).

Mars 2025


(1) « Droits de douane : Donald Trump met à exécution ses menaces pour la Chine, le Mexique et le Canada », France 24, 4 mars 2025 (https://www.france24.com/).
(2) Organisation panasiatique basée aux États-Unis, qui a pour objectif de fortifier les relations entre les dirigeants et institutions d’Asie et des États-Unis (https://asiasociety.org/).
(3) Pour rappel, Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi ; Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.
(4) Le Naval History and Heritage Command dresse un tableau du nombre de navires en service dans la marine américaine depuis 1886 (https://www.history.navy.mil/research/histories/ship-histories/us-ship-force-levels.html). Inventaire officiel des navires de combat de l’US Navy (https://www.nvr.navy.mil/nvr/getpage.htm?pagetype=shipbattleforce).
(5) O’Rourke Ronald, China Naval Modernization: Implications for U.S. Navy Capabilities—Background and Issues for Congress, Congressional Research Service, 2024 (https://sgp.fas.org/crs/row/RL33153.pdf).
(6) K. Lee Peter, « Only Asia can help America counter China’s shipbuilding prowess », The Economist, 20 février 2025 (https://www.economist.com/asia/2025/02/20/only-asia-can-help-america-counter-chinas-shipbuilding-prowess).
(7) Quadrilateral Security Dialogue, une coopération entre les États-Unis, le Japon, l’Australie et l’Inde.
(8) Projet présenté par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en 2021 qui vise au développement des infrastructures numériques, énergétiques, de santé, de transport et de recherche (https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/stronger-europe-world/global-gateway_fr).
(9) India-Middle East-Europe Economic Corridor, un projet de couloir logistique annoncé lors du G20 de New Delhi en 2023. Il vise à relier l’Inde à l’Europe en passant par la péninsule arabique et le Proche-Orient par des chemins de fer, des voies maritimes, des pipelines et des câbles à haut débit.
(10) Hawkins Mackenzie et King Ian, « TSMC Considers Running Intel’s US Factories After Trump Team Request », Bloomberg, 14 février 2025 (https://www.bloomberg.com/news/articles/2025-02-14/tsmc-considers-running-intel-s-us-factories-after-trump-team-request).
(11) Vermander Benoît, « L’Europe doit exploiter les divisions latentes à l’intérieur de la triple alliance qui se dessine entre les États-Unis, la Russie et la Chine », Le Monde, 19 février 2025.
(12) Le pacte vert pour l’Europe, présenté par Ursula von der Leyen en 2019, a notamment pour objectif de réduire d’au moins 50% les émissions de gaz à effet de serre de l’UE pour 2030, par rapport aux niveaux de 1990 (https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/european-green-deal_fr).
(13) Dr Ng Eng Hen, « Remarks By Minister For Defence at the BMW Foundation Herbert Quandt Annual Leaders Roundtable, “On The Horns Of A Trilemma: Geopolitical Recession, Technological Leadership And Energy Security” », ministère de la Défense de Singapour, 15 février 2025 (https://www.mindef.gov.sg/).

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