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  • Revue n° 338 Novembre 1974
  • Défense dans le monde - États-Unis : le président Ford et la politique de défense ; vote de la loi d'équipement et d'effectifs (budget de défense 1974-1975) - URSS : les États socialistes et la crise de Chypre

Défense dans le monde - États-Unis : le président Ford et la politique de défense ; vote de la loi d'équipement et d'effectifs (budget de défense 1974-1975) - URSS : les États socialistes et la crise de Chypre

Jacques Tilhère, « Défense dans le monde - États-Unis : le président Ford et la politique de défense ; vote de la loi d'équipement et d'effectifs (budget de défense 1974-1975) - URSS : les États socialistes et la crise de Chypre  » Revue n° 338 Novembre 1974 - p. 139-144

États-Unis

Le président Ford et la politique de défense

Le 13 août 1974, soit quatre jours après sa prestation de serment, le président Ford a présenté au Congrès les grandes lignes de l’action qu’il entend mener à la tête du gouvernement. D’une façon très générale, il a assuré qu’il n’y aurait pas de « changement de cap » dans la politique américaine, tant au plan intérieur que dans le domaine des affaires étrangères. Le Président a repris les thèmes de son prédécesseur en affirmant la nécessité d’une Amérique forte dont la politique de défense demeurait l’un des éléments fondamentaux de la paix mondiale.

Après avoir rassuré les pays alliés en ce qui concerne le soutien américain à leur sécurité, M. Ford s’est engagé à poursuivre avec l’Union soviétique et les pays socialistes la politique de détente élaborée au cours des trois dernières années. Dans ces perspectives, il a réaffirmé les principes énoncés par son prédécesseur à Guam en juillet 1969, notamment le développement d’une coopération étroite avec les Alliés.

En Europe, Washington n’envisage pas pour l’heure de modifier le niveau des forces américaines, au moins tant que les négociations MBFR (Mutual and Balanced Force Reductions) n’auront pas abouti. Cette politique coïncide précisément avec les intentions du Congrès. En effet, celui-ci a voté une réduction de 6 000 hommes des forces de support en Europe à réaliser dans le budget 1974-1975, mais ce retrait sera intégralement compensé par une augmentation équivalente du nombre des combattants (Cf. suite de l’article).

Au Proche-Orient, M. Ford veut « faire de vigoureux efforts pour faire avancer la paix » mais sa réputation de fervent supporter d’Israël ne manque pas déjà d’inquiéter les pays arabes sans rassurer pleinement le gouvernement de Tel-Aviv.

Aux alliés d’Asie, et en particulier au Sud-Vietnam, il a promis l’assistance américaine dans tous les domaines : sécurité, indépendance et développement économique.

Vis-à-vis des pays socialistes, le Président s’est engagé à continuer la politique de détente poursuivie par l’Administration précédente. Dans cet objectif, les États-Unis pourraient améliorer leurs relations avec Cuba, objet jusque-là de l’ostracisme de l’ancienne équipe gouvernementale.

Constituant une reconnaissance explicite de l’action menée par Richard Nixon en matière de politique étrangère, le discours du Président Ford procède de bonnes intentions. Dire qu’il sera facile de les mettre en pratique serait prématuré. Ainsi, la politique américaine au Proche-Orient et dans le bassin méditerranéen, qui paraissait claire jusqu’aux événements de Chypre, connaît une période de flottement. Certes, ce passage à vide n’est pas sans relation avec la crise qui a provoqué la démission de M. Nixon. Néanmoins la nouvelle équipe doit faire ses preuves, le Président élargir ses compétences et le secrétaire d’État retrouver dynamisme et imagination.

Quoi qu’il en soit, la politique du nouveau Président s’appuiera sur une défense forte, garante du rôle primordial que doivent jouer les États-Unis dans le monde. Pour y parvenir, M. Ford disposera de moyens budgétaires importants. Plus de 22 milliards de dollars ont ainsi été attribués, le 5 août 1974, au titre des chapitres « Achats et fabrications » et « Recherche et Développement » (R&D) dans le cadre d’un budget militaire global qui pourrait atteindre 85,8 Mds $ en crédits de paiements pour l’exercice en cours (1er juillet 1974-30 juin 1975). Il a assuré le Pentagone de son intention de maintenir, malgré la conjoncture économique défavorable, l’enveloppe des crédits à ce niveau et s’est opposé à une réduction de 5 Mds $ proposée sur l’ensemble du budget par la Commission sénatoriale des appropriations.

Les effectifs des forces armées prévus dans le cadre du budget 1974-1975 atteindront 2 152 000 hommes (1) pour l’armée d’active et 880 000 h pour les forces de réserve.

Le redéploiement des forces américaines à l’étranger, entrepris par le Président Nixon conformément à la doctrine de Guam, conduit à un remplacement quasi général des forces terrestres par des moyens aéronavals. Cette disposition conférera une plus grande souplesse et une meilleure efficacité aux unités chargées du soutien de la diplomatie américaine dans le monde.

Enfin, le renouvellement des matériels qui s’opère dans les trois armées ainsi que l’effort technologique consenti dans le domaine des armes nouvelles permettront à l’administration Ford de renforcer le potentiel militaire des États-Unis.

Appelé inopinément à la magistrature suprême, le président Ford, « conservateur constructif » comme il s’est défini lui-même, reprend à son compte en matière de politique étrangère et de défense les options de son prédécesseur. Pour lui, les Américains, qui doivent rester fidèles à leurs engagements vis-à-vis des Alliés et vigilants face aux menaces d’hégémonie du monde communiste, ne peuvent compter que sur eux-mêmes pour assurer la défense du pays.

Vote de la loi d’équipements et d’effectifs (budget de Défense 1974-1975)

Se conformant strictement aux souhaits du Congrès, le président Nixon a signé, le 5 août 1974, la loi d’acquisition de matériels militaires et de plafonnement des effectifs relevant de la Défense (année budgétaire 1974-1975) (2). La loi fixe également le montant de l’aide militaire pour le Vietnam et traite du problème des armements nucléaires tactiques stockés en Europe : elle officialise enfin une procédure restrictive en matière d’exportations de matériels sensibles (amendement Jackson).

Les sommes demandées par l’Administration au titre des acquisitions de matériels (mililary procurement) représentaient 23,2 Mds $ sur un total de dépenses militaires de 85,8 Mds. Les crédits attribués par la loi sont de 22,2 Mds, soit une diminution de 4 %.

Les programmes d’équipements ou de recherche les plus touchés concernent des armements :

– dont l’utilité à moyen ou long terme est défendue sans vigueur dans les milieux mêmes de la Défense : programme de sous-marins lance-missiles prévus comme alternative possible au système Trident pour les années 1980, réseau radar de détection de missiles lancés par sous-marins,
– dont l’intérêt reste douteux pour beaucoup au Congrès : appareils AWACS d’alerte et de contrôle, aériens notamment,
– ou dont la réalisation est retardée sans remise en cause du système lui-même : porte-avions d’escorte (SCS) en particulier.

Aucun des programmes-clés des trois armées ne subit d’altération significative.

En ce qui concerne les nouvelles acquisitions de matériels au profit des trois armées, la mise en place de Missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) Minuteman III sera poursuivie dans le cadre du Traité de limitation des armes stratégiques (SALT), tandis que le programme de conversion des sous-marins Polaris en Poseidon sera mené à son terme : dans le domaine des forces d’emploi général, les demandes d’acquisitions d’intercepteurs Grumman F-14 Tomcat et McDonnell Douglas F-15 Eagle, d’avions d’appui tactique Fairchild A-10 Thunderboldt II, de chars de bataille M60 Patton et de destroyers d’escorte sont intégralement satisfaites.

En matière de R&D, les crédits demandés pour la poursuite du système Trident sont acceptés ; le programme de développement du bombardier Rockwell B-1 est maintenu : les études portant sur les corps de rentrée balistiques manœuvrants (MARV) reçoivent une dotation supérieure aux demandes initiales : enfin les crédits nécessaires à la réalisation du site unique de missiles antimissiles (ABM), au Système de missiles sol-air SAM-D et à l’amélioration des procédés de bombardement tactique sont intégralement votés.

Certains points particuliers sont joints à la loi d’acquisition de matériels et d’effectifs :

– le plafond des effectifs militaires est fixé, pour le 1er juillet 1975, à 2 149 300, soit un abattement de 2 800 par rapport aux prévisions du Pentagone : 18 000 personnels non combattants stationnés en Europe devront, dans les deux ans, être transférés dans des unités combattantes ;

– les armes nucléaires tactiques entreposées en Europe ne feront l’objet d’aucun transfert pendant un an, en attendant les résultats d’études en cours ;

– l’aide militaire au Sud-Vietnam sera limitée à 1 Md $, au lieu de 1,6 (prévisions initiales) ;

– l’adoption d’un amendement déposé par le sénateur Jackson permettra d’accroître l’autonomie de décision du Département de la Défense en matière de cession ou vente à des adversaires potentiels de matériels sensibles intéressant la défense (ordinateurs…) :

– enfin la « nucléarisation » systématique des bâtiments de combat principaux de la marine est adoptée pour les navires mis en chantier à l’avenir (porte-avions, croiseurs, frégates, destroyers et sous-marins).

Dans le cadre des difficultés internes politiques et économiques que connaissent les États-Unis, le vote de cette partie essentielle du budget de Défense représente un succès indéniable pour le secrétaire à la Défense, M. Schlesinger. Il consacre en outre la solidité de l’argumentation présentée par le Pentagone au moment où les milieux spécialisés du Congrès prennent conscience des efforts déployés par l’Union soviétique en matière de réalisation d’armements nouveaux et de recherche militaire. Enfin, les conclusions tirées du demi-échec des récentes discussions de Moscou ne sont sans doute pas étrangères à une convergence de vues, rarement observée, du Congrès et du Pentagone en matière de budget militaire.

URSS : les États socialistes et la crise de Chypre

Parmi les pays socialistes de l’Est, trois États se sont sentis plus particulièrement concernés par la crise de Chypre : l’Union soviétique en tant que puissance mondiale et presque riveraine de la Méditerranée, la Roumanie comme pays balkanique et aspirant à une certaine indépendance vis-à-vis de l’Union soviétique, la Yougoslavie enfin au double titre d’État balkanique et non-aligné.

Le 22 août, l’URSS a proposé la réunion d’une conférence internationale sur Chypre dans le cadre de l’ONU. La conférence comprendrait les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et les puissances intéressées mais pourrait être élargie à certains pays non-alignés. Depuis, malgré l’accueil réservé de l’Occident et de certains pays du Tiers-Monde, le Kremlin n’a guère cessé de rappeler cette proposition (3).

M. Podgorny, Président du praesidium du Soviet suprême, en a encore loué les avantages dans un discours prononcé le 9 septembre 1974 à Sofia à l’occasion du XXXe anniversaire de la « République socialiste bulgare ». Les thèmes évoqués par le chef de l’État ainsi que ceux inspirant les articles de la presse soviétique montrent que Moscou n’a guère infléchi sa position depuis le déclenchement de la crise chypriote.

L’URSS poursuit la dénonciation de « certains milieux de l’Otan » qui portent la responsabilité de la crise : la faillite des garanties accordées à Chypre par la Grande-Bretagne, la Grèce et la Turquie ayant été prouvée, et la conférence de Genève ne donnant aucun résultat, il s’agit de rechercher un règlement de la crise dans le cadre de l’ONU. Il convient de rétablir l’indépendance, la souveraineté et l’intégrité territoriale de Chypre qui doit rester un État non-aligné. Toutes les forces étrangères doivent être évacuées. Pour Moscou, Mgr Makarios reste le chef de l’État chypriote, mais la presse soviétique reste très discrète à cet égard et son retour n’est évoqué que par l’intermédiaire de tiers (4).

Si l’attitude de l’URSS n’a guère varié sur le fond du problème, le retrait des forces grecques de l’Otan aussi bien que l’intransigeance turque ont amené Moscou à adopter une position d’équilibre entre Ankara et Athènes alors qu’elle avait, au début, manifesté une certaine compréhension à l’égard de la Turquie.

Il est probable que l’Union soviétique, bénéficiaire de la crise sans l’avoir elle-même provoquée, continuera à manœuvrer avec prudence. Il s’agit pour elle de s’insérer dans le processus de règlement sans heurter de front les États de l’Otan, donc sans risquer de provoquer un regain de cohésion de l’Alliance (5).

Si l’URSS a réagi très rapidement aux événements de Chypre, la Roumanie a fait preuve d’une lenteur et d’une discrétion inhabituelles. Celles-ci peuvent s’expliquer par les activités déployées par ailleurs (fêtes du XXXe anniversaire, visite en Roumanie du Président syrien Hafez el-Assad, voyage de M. Macovescu en Israël). La Roumanie a cependant fait connaître sa position qui ne s’écarte pas, sur le fond, de la thèse soviétique, tout en se plaçant à un point de vue différent. Bucarest est en faveur du respect de l’indépendance et la souveraineté de Chypre, souhaite une solution pacifique et le retrait des troupes étrangères, car cela répond « aux intérêts de tous les pays, aux intérêts du développement des relations d’amitié entre les pays des Balkans, et de l’Europe en général » (6). Ne pouvant guère adopter une position originale sur le problème de Chypre le Président Ceaucescu a cependant, comme à l’accoutumée, tenu à marquer l’indépendance relative de son pays dans le bloc socialiste, en envoyant, dix jours avant les Soviétiques, un « conseiller diplomatique » à Athènes, Ankara et Nicosie.

L’envoyé du Président Tito, M. Milos Minic, secrétaire d’État fédéral aux Affaires étrangères a, pour sa part, devancé les conseillers roumain et soviétique. Il s’est rendu à Athènes, Ankara et Chypre respectivement les 17, 19 et 27 août. M. Minic était à chaque fois porteur d’un message du Maréchal Tito. La position yougoslave n’a guère évolué depuis le début de la crise. Pour Belgrade l’indépendance, la souveraineté, l’intégrité nationale et le statut d’État non-aligné de l’île doivent être restaurés. C’est à l’ONU qu’il revient de créer un climat permettant aux Chypriotes eux-mêmes de trouver la solution de la crise. La Yougoslavie préconise le retrait des troupes grecques et turques, semblant remettre à plus tard celui des troupes britanniques. En suivant avec attention la situation et en faisant connaître à plusieurs reprises son opinion, la RFSY a agi en tant qu’État balkanique préoccupé par un conflit se déroulant à proximité de ses frontières et dans une zone considérée depuis toujours par le Président Tito comme un foyer de tensions. Elle a agi également comme l’un des chefs de file des pays non-alignés mettant l’accent sur le statut de Chypre et l’appui que peuvent apporter les non-alignés au règlement de la crise (7). Elle ne se pose pas en médiateur mais s’offre à participer à la recherche d’une solution. À cet égard son expérience d’État fédéral peut, le moment venu, être appréciée par les parties intéressées.

L’activité déployée par l’URSS, la Yougoslavie et à un moindre degré la Roumanie, fait ressortir la discrétion des autres États socialistes. Il se peut qu’en cette période de crise, où la rapidité de réaction fait prime, le Kremlin ait pensé qu’ils ne pouvaient rien ajouter à ses initiatives, sinon les approuver. Tous l’ont fait sans réserve. ♦


(1) Dont 785 000 pour l’armée de terre, 540 000 pour la marine, 630 000 pour l’armée de l’air et 196 000 pour le Corps des Marines.
(2) Appropriation, Authorization Act - 1975 (l’année budgétaire couvre la période allant du 1er juillet au 30 juin suivant).
(3) Proposition repoussée par Ankara et Washington et acceptée par Athènes.
(4) La Pravda du 22 août 1974 a rendu compte de la déclaration publiée par le parti communiste chypriote AKEL qui préconisait la création d’un gouvernement d’unité nationale sous la direction de Mgr Makarios. Le 10 septembre l’agence TASS a fait état d’une déclaration du « Président de Chypre », Mgr Makarios.
(5) Le vice-ministre des Affaires étrangères de l’URSS, M. Ilitchev s’est rendu du 9 au 14 septembre 1974 en mission d’information à Chypre, Ankara et Athènes.
(6) Discours du président Ceaucescu le 22 août 1974 devant la Grande assemblée nationale.
(7) M. Stane Dolanc, secrétaire du Comité exécutif de la Ligue des communistes de Yougoslavie (LCY) a souligné le 8 septembre 1974 que : « Les circonstances permettent aux non-alignés de s’engager avec une grande détermination en vue du rétablissement de l’indépendance et du caractère non-aligné de Chypre ».

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