Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 497 Avril 1989
  • Afrique - Afrique australe : les « petits pas » s'allongent… mais vers quoi ? - L'union du Maghreb arabe

Afrique - Afrique australe : les « petits pas » s'allongent… mais vers quoi ? - L'union du Maghreb arabe

Bernard Brionne, Bernard Guillerez, « Afrique - Afrique australe : les « petits pas » s'allongent… mais vers quoi ? - L'union du Maghreb arabe  » Revue n° 497 Avril 1989 - p. 196-203

Afrique australe : les « petits pas » s’allongent… Mais vers quoi ?

Pour devenir satisfaisante, il est indispensable que la situation en Afrique australe puisse évoluer simultanément sur plusieurs plans. Une avancée trop rapide, un retard ou une régression survenus sur l’un d’eux provoquerait sans doute la remise en cause des progrès acquis sur tous les autres. Ces plans sont les suivants : libération de l’Angola, indépendance de la Namibie, évolution du comportement des communautés sud-africaines et celle de leur statut, pacification des confins de l’Afrique du Sud avec le Zimbabwe et le Mozambique. L’évolution sur tous ces plans est du ressort des États qui composent la région, mais l’attitude de ceux-ci dépend aussi, pour une large part, de l’état des relations américano-soviétiques et de l’intensité de l’intérêt que portent aux problèmes de l’Afrique australe les autres pays du continent, ceux qui ne sont pas directement mêlés à leur solution. Des progrès simultanés ont été obtenus dans ces domaines, grâce aux négociations dirigées par Washington, suivies avec attention par Moscou mais où les puissances européennes n’ont joué qu’un rôle secondaire. Ces succès ont été rendus possibles parce que Pretoria a été reconnu comme pouvant être un partenaire à part entière par les pays africains ; mais cette reconnaissance n’aurait pas pu se produire si le Président Pieter Willem Botha n’avait pas fait la preuve de sa volonté de transformer les mœurs et les structures de son pays. Il n’en reste pas moins vrai que, pour la première fois, des pays africains de toutes tendances ont admis que le réformisme peut étaler dans le temps la mutation constitutionnelle de l’Afrique du Sud et qu’en revanche les propositions excessives ou la violence ne sauraient aboutir qu’à une impasse, ce qui entraînerait la misère des pays impliqués dans une extension de la crise.

Le 22 décembre 1988, les ministres des Affaires étrangères de Cuba, d’Angola et d’Afrique du Sud ont signé, au siège de l’ONU, les deux traités assurant le départ d’Angola des forces cubaines et l’accession de la Namibie à l’indépendance, opérations dont le terme est prévu pour les premiers mois de 1990. Les incidents survenus au cours de la cérémonie, qui s’est déroulée sous la présidence du secrétaire d’État américain George P. Shultz et en présence du vice-ministre des Affaires étrangères d’URSS, et les propos qui y furent tenus inspirent quatre réflexions : Cuba n’aurait pas accepté de retirer ses troupes sans une forte pression soviétique ; Moscou aurait pu être incité à faire cesser l’intervention cubaine en constatant que les États africains étaient de plus en plus nombreux à condamner cette intervention ; Luanda paraît considérer comme essentielle la normalisation de ses relations avec les États-Unis ; Pretoria poursuit des variations sur le thème de son « africanité ».

Il reste 89 % de l'article à lire

 
 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Mai 2025
n° 880

Océans, des défis pour la France

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

05-05-2025

La DGA présente son bilan d’activités 2024

30-04-2025

Camerone – 1863

29-04-2025

La Marine nationale teste en pleine mer un drone offensif sur une cible réelle

29-04-2025

Lancement réussi du 4e Vega C – Succès de la mise en orbite de Biomass

28-04-2025

Signature du contrat Rafale Marine pour l’Inde

22-04-2025

Disparition d'Odile de Vasselot

10-04-2025

Début des essais à la mer du BRF Jacques Stosskopf

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.