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  • Revue n° 559 Décembre 1994
  • Asie - Hong Kong, dix ans après l'accord sino-britannique

Asie - Hong Kong, dix ans après l'accord sino-britannique

Jacques Goldfiem (de), « Asie - Hong Kong, dix ans après l'accord sino-britannique  » Revue n° 559 Décembre 1994 - p. 183-186

Ni Pékin, ni Londres, n’ont salué le dixième anniversaire, le 26 septembre 1994, de l’accord sino-britannique scellant, après deux ans de négociations, le sort de Hong Kong, destiné à revenir sous souveraineté chinoise le 1er juillet 1997. Dans la colonie également, le gouverneur Christopher Patten et le représentant officieux de la république populaire de Chine, Zhou Nan, ont normalement vaqué à leurs affaires. C’est qu’à moins de trois ans de la date fatidique, après huit ans d’une diplomatie feutrée, les deux capitales s’affrontent ouvertement sur la gestion de la trentaine de mois restant à courir. Les divergences sont économiques et surtout politiques.

La question du retour éventuel de Hong Kong sous souveraineté chinoise avait été évoquée pour la première fois par les autorités britanniques à l’occasion du voyage à Pékin du gouverneur MacLehose en mars 1979. La raison de cette initiative était purement économique. En effet, le territoire de Hong Kong est composé de trois parties. L’île de Hong Kong, obtenue à titre définitif à l’issue du traité de Nankin en août 1942, la péninsule de Kowloon et l’île Stonecutter acquises en vertu de la convention de Pékin en 1860, et surtout les Nouveaux Territoires et 235 îles au large de Hong Kong cédés à bail pour 99 ans en juin 1898. Sur les 1 065,02 kilomètres carrés de la colonie, les Nouveaux Territoires comptent pour 975,07. C’est dire que le renouvellement du bail, en 1984, était indispensable pour la survie de la partie acquise à titre définitif. Les prêts immobiliers se faisant sur quinze ans, les milieux d’affaires cherchaient des garanties pour leurs investissements.

Les Chinois se seraient bien passés de la question. Pour eux, ces territoires avaient été cédés sous la pression militaire et faisaient partie des concessions imposées par les « traités inégaux » considérés comme sans valeur. Traiter de l’échéance de 1997, c’était reconnaître la valeur juridique de la convention de 1898. Si depuis 1949, la république populaire de Chine (RPC) ne cessait de proclamer sa souveraineté sur le territoire, le statu quo était fort propice à son économie. Pendant les années d’isolement de la RPC, de la guerre de Corée à la fin de la révolution culturelle, Hong Kong avait agi comme le seul véritable poumon, la principale ressource en devises d’un pays replié sur lui-même. La question des Britanniques venait en plus à un moment guère souhaitable, car Deng Xiaoping venait de lancer son programme des quatre modernisations qui attendait beaucoup des pays occidentaux et des capitalistes chinois d’outre-mer, principalement ceux de Hong Kong. Obligées de se prononcer, les autorités de Pékin ne pouvaient que demander le retour de Hong Kong sous leur souveraineté.

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