Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 426 Novembre 1982
  • Aéromobilité et dissuasion : quel avenir pour un transport aérien militaire ?

Aéromobilité et dissuasion : quel avenir pour un transport aérien militaire ?

Pierre Delachenal, « Aéromobilité et dissuasion : quel avenir pour un transport aérien militaire ?  » Revue n° 426 Novembre 1982 - p. 59-67

L'auteur examine quels sont les besoins en transport aérien militaire, sur le plan tactique et sur le plan stratégique, et la situation telle qu'on peut la voir actuellement et en 1985, où elle sera caractérisée par une insuffisance dans tous les domaines. Les problèmes ne sont pas seulement techniques mais aussi financiers. Il est donc temps de mener des études en commun entre civils et militaires pour trouver les meilleures solutions technologiques qui concilieront économie et efficacité.

L’équilibre de la terreur résultant de la capacité de destruction apocalyptique dont dispose chacune des deux grandes puissances nucléaires a permis jusqu’à ce jour d’éviter une catastrophe mondiale en limitant leurs interventions militaires à des actions indirectes. Ce parapluie nucléaire n’a pas empêché que se développent un peu partout dans le monde, des Malouines à l’Afghanistan, des « états de guerre » aussi divers dans leur origine que dans la nature des affrontements, qui vont du combat subversif avec des fusils de récupération, à l’engagement massif avec les armements les plus modernes. Ces guerres échappent à tous les moyens de contrôle internationaux, longs à déclencher, dont l’emploi comporte trop d’implications politiques pour les rendre rapidement efficaces.

C’est dans ce contexte menaçant que chaque État est amené à faire sa propre analyse, sachant que seule une volonté nationale, disposant de moyens adaptés à la satisfaire, peut lui permettre d’assurer la sauvegarde de ses ressortissants, de protéger ses intérêts économiques et de répondre aux appels à l’aide qui peuvent lui être adressés. La France n’échappe pas à cette situation qui l’a déjà conduite à acheminer en des points parfois très éloignés les moyens d’assistance ou d’intervention que nécessitait la situation du moment.

Engagée dans la voie nucléaire depuis 1958, elle s’est construite une force de dissuasion à trois composantes : pilotée, balistique terrestre et sous-marine ; puis elle a réalisé les armes nucléaires tactiques, expression ultime de sa volonté de défense avant l’engagement nucléaire massif sur des objectifs démographiques. Mais lorsque furent atteintes les puissances mégatonniques, le maintien de la crédibilité de nos forces nucléaires, face à une menace modernisée, nous a imposé d’une part de durcir et de miniaturiser nos charges, d’autre part d’accroître la portée et la précision de nos vecteurs, ce qui a nécessité de lourds investissements supplémentaires. Les crédits nécessaires étant prélevés à l’intérieur d’un budget militaire plafonné, il a fallu procéder à des abattements sur les programmes conventionnels qui ont dû être réduits ou étalés. L’armée de l’air a payé sa part de la facture en la prélevant sur ses programmes, pourtant prioritaires, d’avions de combat et en limitant ses ambitions en matière de transport à la seule relance de la chaîne Transall, sans étude d’un programme nouveau.

Il reste 85 % de l'article à lire

 

Plan de l'article

Nécessité du transport aérien militaire

La situation actuelle

Des solutions ?

L’avenir du transport aérien

 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Mai 2025
n° 880

Océans, des défis pour la France

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

05-05-2025

La DGA présente son bilan d’activités 2024

30-04-2025

Camerone – 1863

29-04-2025

La Marine nationale teste en pleine mer un drone offensif sur une cible réelle

29-04-2025

Lancement réussi du 4e Vega C – Succès de la mise en orbite de Biomass

28-04-2025

Signature du contrat Rafale Marine pour l’Inde

22-04-2025

Disparition d'Odile de Vasselot

10-04-2025

Début des essais à la mer du BRF Jacques Stosskopf

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.