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  • Revue n° 575 Mai 1996
  • Science et défense - Bâtiments de combat Aegis : intervention ou dissuasion ?

Science et défense - Bâtiments de combat Aegis : intervention ou dissuasion ?

Bertrand Bonavita, « Science et défense - Bâtiments de combat Aegis : intervention ou dissuasion ?  » Revue n° 575 Mai 1996 - p. 141-147

Depuis plus de dix ans, les États-Unis se constituent une flotte de bâtiments de surface d’un type nouveau répondant au vocable générique Aegis. Ils ont été construits autour d’un système automatisé de gestion des senseurs et de mise en œuvre des moyens de riposte baptisé du nom du bouclier confié à Athéna par Zeus. La réalisation de cet ensemble de près de soixante navires est pratiquement ignorée des commentateurs des affaires de défense de notre pays. C’est regrettable, d’abord parce que ces bâtiments polyvalents de « supériorité technologique » ont été conçus pour être toujours aptes à incorporer le dernier cri de la technique soigneusement validée dans le domaine opérationnel par des organismes d’évaluation rodés à cet effet. Ils sont le produit d’une procédure d’élaboration nouvelle qui rompt délibérément avec les errements jadis en vigueur, qui consistaient à embarquer des systèmes rendus à un stade de développement insuffisant et non intégrés.

C’est regrettable parce que l’organisation chargée de la construction de ces bâtiments susceptibles d’être facilement modernisés est totalement nouvelle. La charte qui l’établit — PMS 400 — confie celle-ci, dès la conception, à un programme Aegis dont le responsable a autorité sur des équipes d’opérationnels, de spécialistes de l’évaluation tant des systèmes que des technologies, des techniciens et des industriels, avec pour mission la mise en service de navires perfectionnés répondant aux besoins de l’époque, et une contrainte : la maîtrise des coûts. C’est regrettable enfin parce que si l’on se place au-delà du cadre technique dont il vient d’être fait état, cette flotte aux ambitions opérationnelles fortes devrait susciter de la part des observateurs et spécialistes de défense, un certain nombre de réflexions :

— sur la souplesse d’adaptation des flottes aux besoins stratégiques du moment ; en faisant peser une menace navale sur les flancs Nord et Sud, voire l’arrière-cour Pacifique de l’Union soviétique, l’US Navy disposait de deux ensembles à caractère offensif performants : ses groupes aéronavals et ses sous-marins d’attaque dotés de missiles de croisière. En moins de cinq ans, elle n’a pas hésité à homogénéiser une partie importante de ses forces d’escorte pour en faire un ensemble à vocation de défense aérienne très moderne capable, grâce à sa mobilité et son allonge, de proposer un bouclier de grandes dimensions partout où la mer le lui permet ;
— sur l’influence politique que cette force, à brève échéance capable de protection antimissiles balistiques, est susceptible de conférer à son détenteur ;
— sur les conséquences du retard de près de vingt ans pris en la matière par les puissances du continent européen.

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US Navy, Aegis, Ticonderoga, CG47, défense aérienne, antimissile

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