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  • Chine : la vengeance de Gorbatchev (T 1388)

Chine : la vengeance de Gorbatchev (T 1388)

Éric Meyer, « Chine : la vengeance de Gorbatchev (T 1388)  », RDN, 12 mai 2022 - 7 pages

Drapeaux soviétique et chinois (Adobe Stock)
Drapeaux soviétique et chinois (Adobe Stock)

Pékin considère que Gorbatchev, par ses réformes, a trahi la Révolution d'Octobre. À l'inverse, Xi Jinping s'est posé en gardien du temple idéologique et a refusé le partage des pouvoirs. Il a aussi fait le choix de la stratégie Zéro Covid : celle-ci, dans un premier temps, a été efficace mais la Chine est aujourd'hui de plus en plus paralysée – Shanghai symbolisant l'échec de cette stratégie. Le début d'une crise interne sans précédent ?

China: Gorbachev’s Revenge (T 1388)

Beijing views Gorbachev’s reforms as a betrayal of the October Revolution. In contrast, Xi Jinping has positioned himself as the guardian of ideological orthodoxy, rejecting power-sharing. He also opted for the Zero-Covid strategy, which was initially effective but has now left China increasingly paralyzed—Shanghai being emblematic of this strategy's failure. Is this the start of an unprecedented internal crisis?

Reçu en grande pompe en mai 1989 à Pékin pour la grande réconciliation après 31 ans de brouille entre pays-frères, Mikhaïl Gorbatchev, premier secrétaire du Parti communiste de l’URSS, avait dû l’année suivante célébrer un autre événement moins glorieux : la dissolution d’une Union soviétique économiquement ruinée et minée par ses conflits internes. Pékin ne lui a jamais pardonné cet enterrement de la Révolution d’Octobre qu’elle considère comme une trahison honteuse, une reddition qui selon le PCC, n’avait rien de nécessaire. Depuis cet acte de décès de l’URSS, la classe dirigeante chinoise a maintenu sa ligne officielle d’une erreur idéologique, assortie d’une absence de qualité virile chez son dernier leader.

Bien avant son arrivée au poste suprême, le Président Xi Jinping a radicalement soutenu cette position qui, d’une certaine manière, lui a servi de « programme électoral » quand il s’est agi, en 2007, de se faire pressentir comme le successeur du Président Hu Jintao. Face à un leadership socialiste déboussolé et craignant de subir le même sort, Xi Jinping promettait au contraire une renaissance, un renouveau fondé sur le refus du partage des pouvoirs concentrés aux mains de l’appareil. Il se posait donc en gardien du temple idéologique, mais aussi en défenseur des privilèges de la génération des fils des révolutionnaires historiques, de la « seconde génération rouge » (hong’erdai). S’associant à cette classe des durs du régime, Xi Jinping proclamait – et proclame toujours – le socialisme comme force invincible, capable de surmonter toute difficulté à condition de ne jamais céder devant personne, ni de se déjuger de quelque décision prise. Seulement voilà : aujourd’hui, la Chine semble bien se retrouver dans un cul-de-sac dans sa gestion de deux dossiers :

– sa gouvernance du coronavirus, avec sa stratégie du « Zéro Covid » ;
– et son choix inconditionnel de soutenir Vladimir Poutine dans l’invasion de l’Ukraine.

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