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Créés en 2009, les BRICS devenus BRICS+ regroupent de nombreux États non-occidentaux censés avoir des intérêts communs. Au fil des années, l’organisation s’est structurée et commence à démontrer une certaine attractivité à l’échelle mondiale. Il importera désormais de ne pas les ignorer et accepter de dialoguer avec ce forum encore récent mais en croissance. Lire les premières lignes
L’Asie centrale fait l’objet de l’intérêt par les grandes puissances environnant la zone. Alors que les États-Unis sont plutôt sur le repli, la Turquie, la Russie et la Chine ont des ambitions géopolitiques, sans oublier l’Iran. L’activisme de ces États traduit la multipolarité croissante d’un nouvel ordre mondial désordonné. Lire les premières lignes
Le conflit en Ukraine imposé par la Russie ne suscite pas l’approbation des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale. Bien au contraire, il y a une prise de distance avec Moscou, tandis que la Chine consolide son emprise, bénéficiant de sa puissance économique et des investissements en cours. Lire les premières lignes
L’océan Arctique subit de plein fouet le réchauffement climatique. De ce fait, l’accès aux hydrocarbures et la voie maritime deviennent des enjeux économiques majeurs pour lesquels la Russie a de grandes ambitions et s’est engagée dans des projets conséquents, dans un contexte de rivalité avec les États-Unis. Lire les premières lignes
Les républiques d’Asie centrale, issues de la dislocation de l’URSS, après des années de méfiance réciproque, ont entamé un rapprochement prudent. Le volet sécurité a été délégué à Moscou, trop heureux de pouvoir rejouer un rôle, et le volet économique à Pékin, dont les moyens financiers sont particulièrement importants. Par contre, une intégration régionale semble désormais oubliée. Lire les premières lignes
En Asie centrale, pour atteindre ses objectifs qui ne se réduisent pas au seul approvisionnement énergétique, la Chine se montre opportuniste, bienveillante et prodigue, distribuant sans compter, mais pas sans arrière-pensées, sa manne financière. Cette politique permet à Pékin d’asseoir d’autant plus aisément sa suprématie que ses rivaux, Russie et États-Unis en tête, ne semblent pas en mesure de contrecarrer ses projets. Lire les premières lignes
L'Asie centrale : zone de conflits sur les arrières de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) ? (T 35)
- Daniel Pasquier - 9 pagesMise au point sur la situation politique mais surtout géostratégique des jeunes républiques d’Asie centrale. États fragiles, pauvres instables, ces pays restent pour les pays occidentaux de possibles théâtres d’opération.
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