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  • Revue n° 364 Mars 1977
  • Outre-mer - L'Arabie séoudite et l'Afrique - Namibie et Rhodésie : les derniers bastions de l'Afrique du Sud - La coopération arabo-africaine : les organismes existent, il y manque le souffle

Outre-mer - L'Arabie séoudite et l'Afrique - Namibie et Rhodésie : les derniers bastions de l'Afrique du Sud - La coopération arabo-africaine : les organismes existent, il y manque le souffle

Bernard Guillerez, Bernard Brionne, J. M., « Outre-mer - L'Arabie séoudite et l'Afrique - Namibie et Rhodésie : les derniers bastions de l'Afrique du Sud - La coopération arabo-africaine : les organismes existent, il y manque le souffle  » Revue n° 364 Mars 1977 - p. 157-171

À qui cherche les causes de l’instabilité en Afrique, il apparaît évident que cette maladie chronique provient pour une grande part de ce que le continent est divisé en deux secteurs dont les importances politiques respectives ne correspondent pas à la position qu’ils occupent sur la carte. Son « centre de gravité » géographique et démographique se situe en Afrique noire, dans des pays qui ne participent à l’équilibre d’aucune autre partie du monde ; ceux-ci s’emploient à résoudre leurs contradictions internes et leurs contentieux et à constituer un noyau assez puissant pour assurer la paix du continent. Mais ils sont dérangés dans cette entreprise par les luttes d’influence à laquelle se livrent parmi eux certains États périphériques qui, tout en appartenant à la communauté africaine, s’opposent dans le jeu politique d’autres régions du monde : les pays d’Afrique du nord rivalisent dans l’ensemble méditerranéen ; ceux de la corne orientale s’insèrent dans l’imbroglio du Proche-Orient ; l’Afrique australe, par sa position sur la route du pétrole et par son potentiel minier, est appelée à jouer un rôle international encore plus complexe à l’échelle mondiale.

Il est donc vain de prétendre que les problèmes africains peuvent être réglés par l’Afrique seule sans concertation avec les grandes puissances puisque, à supposer que leurs interventions directes soient éliminées, leur influence continue à s’exercer au second degré : l’URSS et les États-Unis appuient respectivement, dans le bassin méditerranéen et au Proche-Orient par exemple, des États qui, pour augmenter leur audience dans les secteurs en crise, s’efforcent de nouer des alliances à l’intérieur du « centre de gravité » africain. Ces États deviennent donc en quelque sorte, qu’ils le veuillent ou non, les intermédiaires de l’action internationale des grandes puissances. Le même raisonnement peut être suivi en ce qui concerne les regroupements d’États à caractère non géographique, comme la Ligue arabe, l’Opep ou l’Association des pays non alignés : les luttes d’influence qui s’exercent à l’intérieur de ces organisations naissent de divergences d’intérêts nationaux mais elles prennent fatalement une dimension idéologique et se répercutent sur l’ensemble du territoire africain par l’intermédiaire de pays des périphéries orientales et septentrionales.

L’Arabie Séoudite a été conduite à s’intéresser à l’Afrique pour quatre raisons. Les unes sont historiques et stratégiques : l’expansion de l’Islam en pays noir ; la situation particulière d’un pays dont les accès par la mer sont contrôlés soit par le détroit d’Ormuz dans le golfe arabo-persique, soit par le détroit de Bab el Mandeb dans la mer Rouge. Les autres sont politiques et économiques : la rivalité des pays progressistes et des monarchies au sein de la Ligue arabe ; à l’Opep, les différences d’intérêts des pays à fortes réserves et à faible capacité d’absorption et de ceux qui ne peuvent compter que sur quelques années pour diversifier leurs économies et qui sont dotés d’une popula­tion importante. Ces raisons d’ailleurs sont interférentes et conditionnent l’ensemble de la politique séoudienne.

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L’Arabie séoudite et l’Afrique

Namibie et Rhodésie : les derniers bastions de l’Afrique du Sud

 
 

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