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  • Revue n° 470 Novembre 1986
  • Défense dans le monde - Les Soviétiques vers une capacité de reconnaissance en temps réel par satellite - Japon : la stratégie de l'invisible

Défense dans le monde - Les Soviétiques vers une capacité de reconnaissance en temps réel par satellite - Japon : la stratégie de l'invisible

Claude Monier, Pierre Viaud, « Défense dans le monde - Les Soviétiques vers une capacité de reconnaissance en temps réel par satellite - Japon : la stratégie de l'invisible  » Revue n° 470 Novembre 1986 - p. 166-169

De nombreux facteurs ont favorisé le développement des satellites de reconnaissance en URSS. D’une part, l’immensité des zones à couvrir, que ce soit le long des frontières, dans la profondeur des théâtres stratégiques limitrophes, ou sur le continent américain, nécessitait un moyen de surveillance puissant et permanent. D’autre part, la volonté de centralisation du renseignement, qui doit être « digéré » à un niveau élevé avant d’être communiqué aux forces concernées, a eu certainement tendance à privilégier le satellite par rapport aux moyens locaux dont l’interprétation n’était pas soumise au jugement et au contrôle des états-majors.

Dès qu’ils l’ont pu, les Soviétiques ont donc monté un système complexe de reconnaissance par satellites, qui va du satellite de ressources terrestres (civil, mais on sait ce que cette distinction a de formel), jusqu’à trois types purement militaires : les satellites « basse résolution » (5 à 10 mètres) ; « moyenne résolution » (1 à 3 m), et « haute résolution » (moins de 1 m). Ces derniers sont les seuls capables, par exemple, de reconnaître le type des véhicules, et donc de permettre une utilisation tactique ou d’alerte.

Toute cette constellation utilise comme capteur la photographie sur film qui doit être récupéré au sol pour permettre l’exploitation des images recueillies. Cette récupération, selon les types, utilise deux voies : soit le retour du satellite lui-même, soit le largage (« désorbitage » ?) de capsules contenant une partie du film. Le nombre de celles-ci étant limité, il est inévitable que. en moyenne et en temps de paix, les films récupérés contiennent des images dont l’âge peut aller de quelques jours à un mois. On peut penser que cet état de fait est considéré comme peu satisfaisant par les autorités militaires. Il est évident qu’en cas de crise, les rentrées des capsules ou des satellites pourraient être avancées, et c’est ce qui s’est fait, lors des crises ou pour des manœuvres comme l’exercice militaire Zapad 86. Mais le prix à payer est élevé : il faut en effet remplacer les satellites prématurément disparus. Le fonctionnement du système de reconnaissance purement militaire nécessite déjà plus de 35 lancements par an. et les satellites « prêts au lancement » sur les étagères soviétiques ne sont évidemment pas inépuisables.

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Les Soviétiques vers une capacité de reconnaissance en temps réel par satellite

Japon : la stratégie de l’invisible

 
 

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