Connexion
  • Mon espace
RDN Association loi 1904, fondée en 1939 RDN Le débat stratégique depuis 1939
  • Panier - 0 article
  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Mon espace
  • Connexion
  • Connexion

    Email :

    Mot de passe :

  • La Revue
  • e-RDN
    • Tribune
    • e-Recensions
    • Cahiers de la RDN
    • Débats stratégiques
    • Florilège historique
    • Repères
    • Brèves
  • Boutique
    • Abonnements
    • Crédits articles
    • Points de vente
    • Conditions générales de vente
  • Bibliothèque
    • Recherche
    • Auteurs
    • Anciens numéros
  • La RDN
    • Présentation
    • Comité d'études
    • L'équipe
    • Contact
    • Lettre d'infos
    • Agenda
  • Liens utiles
  • Accueil
  • e-RDN
  • Revue n° 051 Août/Sept 1948
  • Diplomatique - Le statut de l'Allemagne : des recommandations de Londres aux résolutions de Varsovie - Jeux dangereux autour de Berlin - Belgrade et Moscou - L'affaire de Palestine

Diplomatique - Le statut de l'Allemagne : des recommandations de Londres aux résolutions de Varsovie - Jeux dangereux autour de Berlin - Belgrade et Moscou - L'affaire de Palestine

Maurice Pernot, « Diplomatique - Le statut de l'Allemagne : des recommandations de Londres aux résolutions de Varsovie - Jeux dangereux autour de Berlin - Belgrade et Moscou - L'affaire de Palestine  » Revue n° 051 Août/Sept 1948 - p. 297-302

Il était peut-être temps, au mois de juin 1948, d’élaborer et de soumettre à l’examen des gouvernements intéressés quelques propositions concrètes touchant le statut de l’Allemagne. Le peuple allemand lui-même pouvait se plaindre d’être depuis trop longtemps victime du désaccord et de l’indécision de ses vainqueurs. Pour une part de ceux-ci, l’attitude invariablement négative de l’Union soviétique constituait, il est vrai, une excuse valable : mais cette excuse n’atténuait en rien les difficultés d’une situation qui, en se prolongeant, ne faisait que s’aggraver. C’est pourquoi le communiqué annonçant que les délégués des six puissances, réunis à Londres depuis le 20 avril 1948, s’étaient enfin mis d’accord sur quelques points essentiels, fut généralement accueilli dans le monde avec satisfaction.

Au contraire, dans notre pays, les « Accords de Londres » – comme on les a appelés très improprement – devaient soulever un mécontentement presque violent. La vérité est que, depuis la fin d’avril, le Parlement et la presse avaient tout à fait perdu de vue les négociations poursuivies de l’autre côté du Canal, et qu’on les mettait brusquement en face de résultats qui répondaient très imparfaitement à leur attente. En tenant l’opinion, ou tout au moins l’Assemblée, au courant des pourparlers de Londres, de leurs difficultés et de leur progrès, le gouvernement français non seulement aurait évité cet effet de surprise, mais il aurait permis à ses négociateurs d’invoquer, dans certains cas, la « résistance invincible » de leur opinion publique, argument dont les Britanniques ont souvent joué avec succès.

Beaucoup de Français n’auront connu le document de Londres que par les critiques dont il a été l’objet au Parlement et dans la presse. Ils auront appris que le contrôle, dans la Ruhr, s’exercera non sur la production, comme nous l’avions demandé, mais sur la répartition : que l’Assemblée constituante qui doit ouvrir la voie au futur gouvernement de l’Allemagne occidentale sera élue suivant un système choisi par les États eux-mêmes et non suivant celui que nous avions proposé, etc., etc. Mais les mêmes Français ont fort bien pu ignorer que, sur ce dernier point, les efforts de nos délégués ont fait écarter une motion anglo-américaine qui réclamait l’élection au suffrage universel. Il a fallu batailler pour obtenir que la prise de pouvoir par le futur gouvernement ne fût pas fixée au 1er janvier 1949 : pour qu’en tout cas cette prise de pouvoir ne pût avoir lieu qu’après l’entrée en fonction de l’« autorité internationale » chargée du contrôle de la Ruhr.

Il reste 81 % de l'article à lire

 

Plan de l'article

Le statut de l’Allemagne : des recommandations de Londres aux résolutions de Varsovie

Jeux dangereux autour de Berlin

Belgrade et Moscou

L’affaire de Palestine

 
 

L'article a bien été ajouté au panier.

Mon panierContinuer mes achats

Partagez...

  • Accéder au sommaire du numéro

Juin 2025
n° 881

L’avenir des alliances militaires

Je participe au débat stratégique


À vos claviers,
réagissez au dossier du mois

 

Actualités

04-06-2025

Une 4e FDI pour la Grèce

19-05-2025

Exposition « Jean Gaumy et la mer » au Musée national de la Marine

14-05-2025

Maritimisation et trafic portuaire : bilan 2024

14-05-2025

Observations de la Cour des comptes sur l’organisation budgétaire de la mission « Défense »

Adhérez au CEDN

et bénéficiez d'un statut privilégié et d'avantages exclusifs (invitations...)

Anciens numéros

Accéder aux sommaires des revues de 1939 à aujourd’hui

Agenda

Colloques, manifestations, expositions...

Liens utiles

Institutions, ministères, médias...

Lettre d'infos

Boutique

  • Abonnements
  • Crédits articles
  • Points de vente
  • CGV
  • Politique de confidentialité / Mentions légales

e-RDN

  • Tribune
  • e-Recensions
  • Cahiers de la RDN
  • Florilège historique
  • Repères

Informations

La Revue Défense Nationale est éditée par le Comité d’études de défense nationale (association loi de 1901)

Directeur de la publication : Thierry CASPAR-FILLE-LAMBIE

Adresse géographique : École militaire,
1 place Joffre, Paris VII

Nous contacter

Tél. : 01 44 42 31 90

Email : contact@defnat.com

Adresse : BP 8607, 75325 Paris cedex 07

Publicité : 01 44 42 31 91

Copyright © Bialec Tous droits réservés.