(1909-1996) Général français. Saint-cyrien. De sa sortie de Saumur en 1932 à la mobilisation de 1939, il sert alternativement en métropole, au Levant et au Maroc, au sein d’unités montées ou mécanisées. En 1940, il commande un goum au Maroc. Il fait la campagne de Libération au sein du 1er Chasseurs d’Afrique. Breveté, chef de corps du 8e Hussards, il prend le commandement du secteur de Médéa en 1959, avant d’être nommé Inspecteur de l’Arme blindée cavalerie (ABC) pour l’Algérie en 1960. Nommé général de brigade en 1961, il commande en juin la 11e Division légère d’intervention (DLI), issue de la dissolution des deux divisions parachutistes. Commandant l’École de cavalerie, promu divisionnaire, il est nommé Inspecteur de l’ABC en août 1965. Promu Général de corps d’armée en 1968.
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Traditionnellement, le caractère français aime l’improvisation, mais devant la complexité croissante des problèmes d’ordre tant économique que technique, la planification est devenue indispensable. Notre politique d’armement n’y a pas échappé, et depuis 1960, nous travaillons sur les bases d’un plan à long terme et de lois-programmes qui échelonnent en principe sur cinq ans études et production de nos armements et équipements. Nous jouons actuellement la période 71-75 et le problème se pose de savoir, compte tenu du contexte économique du moment, financier en particulier, quels seront les différents types d’armements que nous pourrons concevoir, produire, améliorer, ou maintenir en condition pour répondre aux besoins de notre politique de défense. Lire la suite
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Été 2025
n° 882
L’Afrique face aux mutations stratégiques
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