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Réflexion sur les manœuvres Tonnerre du Nord en Arabie saoudite (T 762)
Les manœuvres effectuées récemment par l’Arabie saoudite alors même que ses forces sont engagées au Yémen s’inscrivent dans un contexte d’extrême tension au Moyen-Orient, avec une rivalité au sens géopolitique entre Riyad et Téhéran. Ces démonstrations de force se veulent des messages politiques, au risque d’un dérapage militaire qui pourrait embraser la région.
L’Égypte et le piège d’instabilité (T 411)
Une analyse à chaud des récents événements égyptiens par un expert montre le caractère ambigu et inquiétant de la prise de pouvoir militaire du 3 juillet. Les forces politiques et militaires en présence, en se recomposant, décideront de la guerre civile ou d’une nouvelle étape de la révolution égyptienne.
Égypte : le « sentier obscur » ! (T 307)
- Emad Awwad - 3 pagesL’auteur fait le point sur la crise en Égypte dont l’enjeu est la Constitution. L’armée se place désormais en recours pour départager les tenants du Président de la République élu mais dont l’engagement politique est vivement contesté par les adversaires des Frères musulmans.
Le dilemme de la citoyenneté au Bahreïn (T 222)
- Emad Awwad - 3 pagesLa rivalité pour le pouvoir entre deux forces politiques distinctes existe depuis l’indépendance au sein de la société bahreïnie. C’est elle, plus que l’action d’acteurs politico-religieux extérieurs, qui organise la tension qui mine actuellement le royaume.
L’Égypte et l’équation sécuritaire au Proche-Orient
- Emad Awwad - 6 pagesL’Égypte joue un rôle important dans le règlement des conflits au Proche-Orient. Elle est considérée comme un partenaire indispensable de l’Europe dans le maintien de la paix et de la sécurité internationale, un négociateur redoutable qui néanmoins rencontre beaucoup d’obstacles.
À l’évidence, l’année 2005 a amené dans son sillage de nouvelles donnes sur l’échiquier palestino-israélien. M. Ariel Sharon a opté pour un gouvernement de coalition avec le parti travailliste afin d’assurer la mise en oeuvre de son plan de désengagement de la bande de Gaza, tandis qu’une nouvelle direction palestinienne a émergé, ayant l’approbation tant américaine qu’israélienne. Pourtant, l’analyse attentive des événements suscite autant de craintes que d’espoirs.
Nul doute que l'acte constitutif de l'Union africaine représentait un tournant important dans l'histoire de l'Afrique. N'avait-il pas annoncé de nouvelles institutions chargées de remédier aux racines profondes des conflits ? En effet, le protocole relatif à l'établissement d'un conseil de paix et de sécurité semblait incarner une nouvelle « doctrine » dans les domaines politiques, sociaux et sécuritaires. Or, les évolutions sur le terrain ont révélé un certain décalage entre les « bonnes intentions » et les « actes tangibles ». Lire les premières lignes
Après avoir délogé le régime de Saddam Hussein, les stratèges de l’Administration américaine s’orientaient vers un «remodelage» du Proche-Orient. Ce faisant, Washington allait se trouver devant un dilemme. Dans les circonstances actuelles, les États-Unis semblent être très mal placés pour superviser, sinon contrôler, les changements annoncés. En plus de l’érosion de leur crédibilité, ils sont appelés à redéfinir la place de l’État hébreu sur l’échiquier régional. Le tout se passe avec pour toile de fond une atmosphère composée de la violence et de la méfiance politique, populaire et religieuse.
Le présent article a été rédigé avant le début de l'offensive américaine en Irak, ainsi que le discours prononcé par le président américain, le 14 mars dernier, sur la question palestinienne. Toutefois, ni l'un ni l'autre n'affectent le contenu. L'objet de l'article est de démontrer la relation existant entre l'ordre mondial et cette région, largement sensible et explosive. Au moment où l'ancien système, avec ses instruments, est mis à l'épreuve, un autre semblerait se manifester. L'auteur s'interroge sur le rôle de cette région dans le processus en cours. Va-t-elle servir de catalyseur à l'émergence définitive d'un « ordre » ou d'un « désordre » mondial ?
L'auteur, spécialiste du Proche-Orient, nous livre ses réflexions sur l'opération contre l'Irak baptisée « Renard du désert » : il fait le point sur l'action elle-même, ses conséquences proches et ses perspectives possibles.
L'auteur, spécialiste des questions proche-orientales, ne manque pas d'assurer notre information au fur et à mesure des évènements qui se déroulent dans une des régions les plus tourmentées du globe. Il nous montre les difficultés pour aboutir à un processus de paix viable entre Israël et l'État palestinien, d'autant plus que chaque jour apporte son lot de troubles : ceux du mois de décembre sont particulièrement préoccupants.
En avril dernier, l'auteur, spécialiste du Proche-Orient, nous présentait la politique « deux poids, deux mesures » des États-Unis dans cette région. Il évoquait en particulier les relations américano-israéliennes, thème qu’il reprend dans un nouvel article où il nous fait part de sa propre analyse à la lueur des événements récents.
En janvier dernier, l'auteur, spécialiste de cette poudrière qu’est le Proche-Orient, nous faisait connaître son opinion sur la sécurité de l’État d’Israël. Cette fois-ci, il aborde la politique américaine dans cette région, d’une part envers l’Irak de Saddam Hussein, d’autre part à l’égard de l’État hébreu. Nous sommes conscients que les arguments émis peuvent prêter à observations de toutes sortes.
L'auteur, spécialiste du Proche-Orient, continue de nous faire part de ses réflexions sur cette région et les protagonistes d’une situation dont on peut dire qu’elle est spécialement instable. Il nous donne son opinion personnelle sur l’obsession de la sécurité en Israël, État « créé dans la douleur » et l’hostilité de l’environnement.
Le 27 décembre 1995, l’armée israélienne se retirait d’une septième ville de Cisjordanie, Ramallah, capitale économique située à dix kilomètres au nord de Jérusalem, achevant ainsi une phase clé de la mise en œuvre de l’accord de principe signé à Washington en septembre 1993 par MM. Arafat et Rabin en présence du président américain Bill Clinton. Par ailleurs, le ministre israélien de la Justice annonçait le même jour que mille détenus palestiniens seraient libérés conformément aux accords conclus avec l’OLP. Cette « précision » dont faisait preuve Israël dans l’application de l’accord d’extension de l’autonomie à la Cisjordanie allait donner la plus grande satisfaction à M. Yasser Arafat. Dorénavant, il pouvait à juste titre se vanter de pouvoir, grâce à un processus de paix, long et aussi contesté, permettre au peuple palestinien de disposer d’une terre sur laquelle des « élections » pourraient être organisées (1). Le taux élevé de Palestiniens inscrits sur les listes électorales témoignait de l’importance accordée par les habitants des territoires autonomes à un tel événement, tandis que la présence de nombreux observateurs étrangers venus d’un peu partout dans le monde allait l’amplifier. C’était la première fois qu’autant d’experts se déplaçaient pour observer des élections, non pas dans un État indépendant, mais dans des « territoires autonomes » (2). Lire la suite
En novembre 1993, l'auteur, docteur en sciences politiques et spécialiste des questions proche-orientales et africaines, nous avait présenté la nouvelle institution destinée à prévenir et régler les conflits en Afrique. Plus d'un an après cette création, il fait le bilan des actions de ce mécanisme : ses appréciations, nuancées, l'engagent seul. Lire les premières lignes
En début d'année, l'auteur, un de nos meilleurs spécialistes sur le Proche-Orient, nous avait informés sur la genèse et les conséquences possibles de l'accord signé entre Israël et l'OLP. En fait, bien des difficultés étaient à prévoir : on en a la preuve avec les actions des extrémistes des deux côtés apparemment décidés à contrecarrer le processus de paix. Il fait une synthèse de la situation plusieurs mois après la signature de l'accord, ce qui bien évidemment ne représente que sa propre opinion.
Faisant suite aux réflexions de l'ambassadeur de France Marc Bonnefous sur l'accord signé entre Israël et l'OLP (décembre 1993), voici une étude où l'auteur cherche à déterminer la genèse et les conséquences possibles des négociations ayant abouti à cet accord.
L'auteur, docteur en sciences politiques, est spécialiste des questions proche-orientales et africaines. Il analyse les raisons qui ont incité les chefs d'État et de gouvernement africains présents au Caire en juin 1993 à adopter une déclaration créant un mécanisme de prévention, de gestion et de règlement des conflits sur le continent ; il nous fait part de ses espoirs quant à l'efficacité de cette institution, mais ne peut s'empêcher d'émettre quelques réserves. Lire les premières lignes
L'auteur, docteur en sciences politiques, dresse le bilan de l'action du président Bush dans la recherche de la paix au Proche-Orient, tout spécialement en ce qui concerne le conflit israélo-arabe : pour lui, ce bilan est très positif, même si nous sommes encore loin d'un règlement définitif.
En 1991, l'auteur, docteur en sciences politiques, nous avait présenté une synthèse très complète de révolution des relations américano-soviétiques au Proche-Orient au lendemain de la guerre du Golfe. L'URSS a disparu de la scène internationale : les États-Unis restent la seule superpuissance ; un nouvel ordre mondial se met en place, aussi inquiétant que le précédent, et pourtant les démocraties désarment ! Notre auteur se demande ce que va devenir le « monde arabe », mais malgré une analyse fine des divers éléments de la situation, il ne peut formuler que des hypothèses.
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