Général français.
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Le centre autrichien d’entraînement aux opérations extérieures (Kommando Auslandseinsätze : Kdo AuslE) est implanté depuis 1987 à Stammersdorf, près de Vienne. Depuis 1991, ce centre, qui fonctionne avec un effectif permanent de 70 personnes, a reçu 307 militaires autrichiens et 108 étrangers dans ses quatre stages spécialisés « ONU » : état-major, observateur, logistique et police militaire, les deux premiers étant les seuls qui soient ouverts aux étrangers. La fréquence annuelle est d’un stage d’état-major, de deux de logistique et de police militaire et de trois d’observateur. La durée des stages est de cinq semaines pour la police militaire et de trois semaines pour les autres. Au programme du stage d’observateur figurent, à côté des sujets habituels (information sur le fonctionnement de l’ONU, entraînement aux techniques du maintien de la paix, initiation aux procédures onusiennes, etc.), une accoutumance au feu et un entraînement à l’identification des tirs du champ de bataille ainsi que l’acquisition de certaines techniques particulières comme la conduite automobile en terrain difficile et l’utilisation d’hélicoptères pour l’observation ou les évacuations sanitaires. Le rayonnement international du centre est important, quinze pays ayant déjà envoyé des officiers au stage d’observateur et onze à celui d’état-major (1). Le centre de Stammersdorf sert également à l’entraînement des unités désignées pour participer à une force de maintien de la paix. Actuellement, il s’agit de celles assurant la relève des bataillons autrichiens de la Fnuod (Golan) et de l’Unficyp (Chypre). La durée de l’entraînement au centre est de trois semaines. Lire la suite
Depuis le 25 janvier 1993, l’armée australienne possède son propre centre d’entraînement au maintien de la paix (Australian Defence Force Peacekeeping Centre : ADFPKC). Établi au sein du centre d’entraînement à la guerre (Warfare Centre) de la force de défense australienne, sur la base aérienne de Williamtown, près de Newcastle (Nouvelle-Galles du Sud), ce centre ne dispose encore que de très modestes moyens : cinq à six personnes permanentes. La mission qui lui est dévolue n’en est pas moins vaste. Lire la suite
Le 29 septembre 1993, une équipe de neuf officiers et sous-officiers français se posait en Mystère 20 à l’aéroport de Chichinau pour une mission d’évaluation des matériels blindés d’un bataillon de reconnaissance moldave. Partie de Moscou le 22 novembre 1993, une équipe similaire inspectait pendant 48 heures une unité de guerre électronique de l’armée russe. Simultanément une autre équipe française, voyageant en Nord 262, procédait du 23 au 26 novembre à l’inspection d’un dépôt d’armement en Bulgarie. Lire la suite
Le général de corps d’armée Ensio Siilasvuo, de l’armée finlandaise, est le fils du célèbre vainqueur de la bataille de Suomosalmi, gagnée sur les Soviétiques pendant l’hiver 1939-1940. Il prit part lui-même à la guerre à partir de 1941 en Carélie et en Laponie ; mais les mémoires qu’il vient de publier portent sur une tout autre période. Il nous fait part de son expérience de douze années passées dans les formations de maintien de la paix de l’ONU au Proche-Orient, entre 1967 et 1979. Affecté d’abord à l’Onust (Organisme des Nations unies chargé de la surveillance de la Trêve, consécutive à la guerre israélo-arabe de 1948), dont il devint le chef à l’époque de la guerre d’usure sur le canal de Suez [1970], il reçut après la guerre d’octobre 1973 [Kippour] le commandement de la seconde Force d’urgence des Nations unies (Funu II) et participa à ce titre aux négociations israélo-égyptiennes du Kilomètre 101, puis de Genève. De 1975 à 1979, il fut le coordonnateur des opérations de maintien de la paix [OMP] au Proche-Orient, opérations qui groupèrent jusqu’à 15 000 Casques bleus. Lire la suite
La part croissante prise depuis 1992 par l’armée française aux opérations de l’ONU a conduit l’État-major des armées (EMA), pour ce qui concerne les observateurs, et l’État-major de l’armée de terre (EMAT), pour les cadres et la troupe des unités ainsi que pour les officiers d’état-major, à organiser une formation spécifique « ONU ». Lire la suite
Une petite « révolution culturelle » est en marche à New York. Un état-major militaire y est en cours de constitution au secrétariat général de l’ONU et devrait être opérationnel au début de l’année 1994. Avant de présenter le projet de restructuration de l’équipe du conseiller militaire, rappelons quelle est la composition actuelle de celle-ci. Lire la suite
La première institution internationale à être intervenue dans le conflit yougoslave est la Communauté européenne. Elle a dépêché sur place ses représentants et a établi une instance de négociation. Elle a également créé un corps civilo-militaire de 50 puis 300 observateurs, qui ont commencé à œuvrer dès le mois de juillet 1991, en application des Accords de Brioni. Lire la suite
C’est à la suite de la première invasion du Liban Sud par l’armée israélienne le 15 mars 1978 que le Conseil de sécurité créa la Force intérimaire des Nations unies au Liban (résolution 425 du 19 mars 1978) pour confirmer le retrait israélien du Liban, restaurer la paix et la sécurité internationale, aider le gouvernement libanais à assurer le rétablissement de son autorité effective dans la zone. Lire la suite
Le maintien de la paix est organisé au quartier général des Nations unies à New York d’une manière originale. Deux organismes s’y partagent la planification, la conduite et le soutien des opérations. Lire la suite
Alors que l'opération Tempête du désert mise en œuvre par la coalition menée par les États-Unis pour libérer le Koweït de l’Irak a abouti, l’auteur fait un parallèle avec la guerre de Corée, l’autre guerre de l’ONU. Lire les premières lignes
Comment assurer la sécurité des équipes d'aide humanitaire dans les pays troublés du Tiers-Monde ? Comment leur permettre d'accéder à des régions où elles sont indésirables ? Ces deux grandes questions ont été débattues au colloque international qui s'est tenu à Niinisalo en Finlande du 24 au 26 octobre 1989. L'auteur, qui y participait, nous présente ses réflexions et esquisse les caractéristiques d'une nouvelle catégorie de force internationale : les Casques bleus « humanitaires ». Il est par ailleurs l'auteur d'un livre sur Les bérets bleus de l'ONU à travers 40 ans de conflit israélo-arabe (1988, Éditions France Empire, 806 pages). Lire les premières lignes
« Une évaluation des opérations de maintien de la paix menées entre Arabes et Israéliens » : le sous-titre de cet ouvrage en langue anglaise en définit bien l’objet. Lire la suite
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